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Voir l'offre d'abonnementPour atteindre les ambitieux objectifs fixés par la filière, plusieurs pistes sont poursuivies. Avec un point commun : ne pas « décarboner » au détriment des performances technico-économiques.
Le programme de plantation d’arbres et haies « Yes we plant » était assorti d’objectifs ambitieux. Aujourd’hui, ceux-ci ont été atteints, voire dépassés. Notamment grâce au soutien des agriculteurs qui, parmi d’autres, ont répondu à l’appel de la ministre wallonne de la Nature et de l’Environnement, Céline Tellier.
Le ministre de la Santé, Frank Vandenbroucke, a demandé à Fedris, l’Agence fédérale des risques professionnels, de mener une nouvelle étude sur le lien entre la maladie de Parkison et l’usage de pesticides, a-t-il indiqué jeudi à la Chambre en réponse à une question de Josy Arens (Les Engagés).
Sous l’impulsion de la Région wallonne, et avec le soutien du Plan de Relance wallon, le logiciel DECiDE du Cra-w dévoile sa version 5.0, introduisant des indicateurs améliorés pour relier les pratiques agricoles à la durabilité des exploitations.
Le gouvernement wallon a adopté plusieurs dispositions afin de diminuer les populations et d’endiguer l’expansion de l’espèce. Des les mesures qui ont été validées après avis du Conseil d’État.
L’irrigation traditionnelle pratiquée en Wallonie, connue sous le nom d’« abissage », a été reconnue le 5 décembre par l’Unesco en tant que patrimoine culturel immatériel de l’humanité. Cette inscription vise à accroître la visibilité des connaissances, du savoir-faire et de l’importance culturelle associée à cette pratique ancestrale.
De nombreuses pratiques peuvent avoir un effet climatique net positif sur la réduction des émissions de gaz à effet de serre d’origine agricole. Leur effet reste cependant marginal par rapport à une réduction cible de 80 à 95 % des émissions à l’horizon 2050. Pour atteindre des objectifs ambitieux, il n’y a pas d’alternatives autres que soutenir des systèmes qui assurent aux sols un bilan d’humus favorable, proscrivent le labour des prairies permanentes, accroissent leurs surfaces… Quant aux solutions technologiques, elles peuvent être utiles, mais n’ont pas démontré de rôle déterminant en pratique.
Cette mesure s’ajoute à plusieurs dispositions, qui sont actuellement soumises à l’examen du Conseil d’État, afin de diminuer les populations de grand gibier et d’endiguer l’expansion de l’espèce sanglier, notamment via la destruction et le nourrissage.
La question des émissions de gaz à effet de serre et du carbone est cruciale en agriculture. Il en découle d’ailleurs plusieurs idées. L’une d’elles concerne les prairies permanentes. S’il est vrai que le sol y constitue un réservoir de carbone considérable, il est faux de dire que ce sont globalement des puits de carbone dont le stock total augmente. L’enjeu majeur est bien de conserver ce stock, de même que celui des terres arables. Un second développement détaille la contribution de l’élevage bovin aux émissions de GES, tenant compte de la production fourragère, y compris les prairies permanentes.
Un groupe international de chercheurs souhaite connaître l’impact des microplastiques sur les terres cultivées. Participez à l’enquête et bénéficiez d’une analyse de sol gratuite.
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