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Voir l'offre d'abonnementForte de nombreuses années de monitoring du parasitisme digestif dans plusieurs dizaines de troupeaux de petits ruminants et confortée par les résultats du récent projet GPS « Résistance aux anthelminthiques », l’Arsia poursuit sa campagne de sensibilisation aux bonnes pratiques de gestion du parasitisme digestif dans les troupeaux ovins et caprins. Du travail à accomplir, il y en a mais le dynamisme des éleveurs à tendre vers une approche ciblée et raisonnée doit être souligné !
Dans le cadre du projet de démonstration « Attention au loup », qui s’est achevé fin 2022, nous avons eu l’occasion de visiter quatre exploitations ovines et bovines en Allemagne au cours du mois de novembre, dont trois étaient situées en Basse-Saxe et une en Rhénanie-du-Nord-Westphalie. La Basse-Saxe abrite 43 meutes de loups, chacune comptant une douzaine de loups.
« Si les cornes sont des éléments naturels de défense, leur présence dans les troupeaux caprins n’est pas sans risque. L’ébourgeonnage des jeunes caprins limite non seulement les risques de blessure entre animaux, mais facilite aussi leur accès à l’alimentation et le travail de l’éleveur. Toutefois, l’intervention nécessite le respect de certaines règles afin qu’elle soit réussie et sans douleur pour l’animal », a ainsi débuté Béatrice Mounaix, de l’Institut de l’Élevage, dans le cadre d’une conférence sur le sujet au Space, en septembre dernier.
Havinnes. Aux confins du Tournaisis. L’horizon « colline » doucement aéré de cette poignée de lumière. Le sentiment limpide de la vie éphémère, le réel toujours du côté du réfractaire, du fugitif, de ce sentiment qui nous voue au déchirant et au contradictoire. Au bout du chemin méandreux, Vincent Delobel plante un décor qu’il dessine et colore au quotidien.
En Wallonie, plusieurs acteurs publics et privés mènent actuellement des recherches visant à réduire les émissions de gaz à effet de serre au sein des élevages. Cela doit mener au développement de solutions nouvelles et utiles aux éleveurs, leur permettant de mener leurs activités dans le respect de l’environnement.
Si pour nos jeunes têtes blondes l’heure de la rentrée a sonné il y a déjà plusieurs semaines, du côté de nos brebis et chèvres, le retour en bâti se profile seulement maintenant. L’arrière-saison s’est révélée particulièrement agréable. L’occasion de profiter d’une belle repousse après une période de disette estivale ! Cette rentrée est sans conteste une période de grands changements pour nos ruminants tant d’un point de vue environnemental, sanitaire, qu’alimentaire. Le retour en bâtiment sonne le glas de l’exposition au grand air et de la « dilution des pathogènes ».
Au fil des ans, la popularité des chèvres en tant qu’animaux de compagnie a clairement augmenté. Les propriétaires préfèrent souvent gâter leurs animaux avec des friandises. Malheureusement, cela induit un risque élevé de développement une maladie très fréquente chez cette espèce, l’urolithiase.
Visite chez François et Manon Lallemant-Drouguet du côté de Blanchefontaine qui élèvent près de 750 chèvres alpines. Lactations longues pour les unes, lactations courtes et insémination artificielle pour les autres, le schéma de reproduction permet au couple de travailler en circuit fermé tout en augmentant la production et le cheptel tant en qualité qu’en quantité. Rencontre.
Au vu des prix des matières premières, les dernières envolées des intrants se sont traduites par une hausse importante et rapide du coût de production des élevages ovins laitiers et plus particulièrement des coûts d’alimentation.
Bien que la filière ovine se développe en Wallonie, les éleveurs sont toujours à la recherche de débouchés. Et pour y arriver, certains d’entre eux ont décidé d’unir leurs forces pour rationaliser leurs coûts et négocier un prix convenable. C’est le cas des frères Baikrich, installés dans la région de Bastogne, qui ont développé en collaboration avec d’autres éleveurs l’agneau Joyau, une filière ovine wallonne de qualité. Rencontre avec Florian qui nous explique la démarche.
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