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Les écuries actives sont-elles l’avenir du monde équestre?

Chevaux C’est un petit paradis consacré au bien-être des chevaux qu’a réussi à créer Anne De Wulf, à Ernage, près de Gembloux. Une écurie active dans laquelle les équidés peuvent vivre dans un espace qui correspond à leurs besoins fondamentaux, comme marcher, jouer, se reposer, vivre en troupeaux, ou encore disposer de nourriture et d’eau quand ils le souhaitent. Un concept prometteur, et automatisé afin d’offrir un service personnalisé à chaque animal.
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Débardeur au cheval: une profession en péril

« Quel avenir pour le débardage au cheval ? » : c’est la question que se sont posée les associations Meneurs et Canopea. Pour y répondre, elles ont réalisé une enquête et interrogé les différents acteurs sylvicoles. Et malheureusement, le constat est alarmant : cette profession risque de disparaître si des mesures rapides et adéquates ne sont pas prises.

Le cheval de travail en démonstration à la Foire de Libramont

Le Comité Européen des Chevaux de Travail (CECT) sera présent à la « Porte du Cheval de Trait Ardennais » afin d’illustrer, sur terrain, les chevaux maraîchers et viticoles. Le public aura l’occasion de voir évoluer les chevaux en situations réelles de travaux de la terre en maraîchage et viticulture. A noter les démonstrations spécifiques d’outils maraîchers modernes en traction animale les samedi et dimanche à 10h, 13h et 15h.

Grégory Wathelet sur ses origines agricoles: «Mes parents m’ont inculqué la valeur du travail, non celle de l’argent!»

Dans le monde du cheval, Grégory Wathelet n’est plus à présenter. Cavalier belge nº1 de saut d’obstacles et médaillé de bronze par équipe lors des derniers jeux olympiques, entre autres, il figure régulièrement dans le Top 30 mondial depuis près de 20 ans. S’il a fait des performances sportives son cheval de bataille, ce self-made-man n’oublie pas pour autant ses origines agricoles.

Le cheval, ce trait d’union entre gestion forestière et protection des sols

Oui le cheval de travail a encore une place dans nos forêts ! C’est le plaidoyer de la fédération d’associations environnementales Canopea, du DNF et de l’asbl Meneurs qui ont voulu montrer la palette de services que le cheval et son débardeur peuvent rendre en forêt, en complément des machines, au profit du respect du sol, des végétaux et de la biodiversité. L’occasion aussi pour Meneurs d’annoncer la réalisation d’un état des lieux de la filière pour le Cabinet de la ministre Tellier.

Le choix des lecteurs

La filière équine, cette plus-value pour l’agriculture

La ligue francophone équestre (LEWB) a décerné des labels à plusieurs de ses clubs mardi dans les installations du centre équestre de Gesves, invitant pour l'occasion la ministre des Sports de la fédération Wallonie-Bruxelles, Valérie Glatigny, qui a souligné l'importance de l'équitation, «un sport aux multiples facettes, un acteur économique et une pépinière de champions». Jérôme Guéry était aussi présent dans la plus grande infrastructure dédiée à l'équitation en Wallonie. Le vice-champion du monde de jumping, médaillé de bronze par équipes aux JO de Tokyo, soulignait aussi l'importance de détecter les jeunes talents et développer tous les métiers de l'équitation.

La nouvelle place du cheval de débardage en forêt

Pour diverses raisons, le nombre de débardeurs au cheval s’est fortement réduit ces dernières années. Cependant, en milieu sylvicole, le recours au cheval recèle bien des avantages (moindre tassement du sol, préservation de la végétation, maniabilité accrue…) et ce, également en combinaison avec des engins forestiers. À ce titre, le cheval de travail fait l’objet d’un nouvel intérêt et attire un nombre croissant d’amateurs dont certains sont actifs dans nos bois et forêts.

Chevaux et clôtures: un fil distendu ne fera pas l’affaire!

Vers février-mars, le propriétaire de chevaux prévoyant entreprend un «tour de clôture» afin de vérifier l’état de l’enclos de ses équidés. Une vérification bien nécessaire… avant que vos quadrupèdes exaltés puissent gambader dans leur pré!

Balade croisée dans les univers du maraîchage et du cheval : «Nous essayons de produire tout en augmentant la biodiversité»

La charrue, le cheval, les légumes, les arbres. La terre, la nature comme dénominateur commun. À Noville-les-Bois, l’horizon

est comme l’air qui baigne la terre ou le silence qui creuse

le ciel. Au pied des lopins de serre qui redoutent les derniers sursauts de l’hiver, nous avons rencontré Xavier Anciaux et

Gaëtan Pyckhout qui les feront revivre au printemps

tout proche. Comme on lit une lettre en plein soleil.

L’âne, un ami fidèle et intelligent!

L’année dernière, l’âne a fait la une des journaux nationaux. La raison: un excès soudain d’ânes, particulièrement en Flandre. L’humain est en effet de nature changeante: il s’entiche d’un animal, puis soudainement, il –ou ses enfants –s’en lasse. Une preuve de plus que celui qui ne voue pas un amour inconditionnel aux équidés ferait mieux de s’abstenir d’en adopter.