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Dans un rapport d’audit sur les contrôles officiels liés à la protection du bien-être des poules pondeuses, la commission a conclu que les dispositions nationales sont très variées et couvrent de nombreux domaines différents, ce qui explique pourquoi les conditions de bien-être des poules pondeuses ne sont pas uniformes dans l’UE.
L’Autorité européenne de sécurité des aliments (Efsa) a dressé une liste de recommandations pour améliorer les conditions d’élevage des poules pondeuses et des poulets de chair. Parmi elles : la fin des cages, la réduction de la densité d’animaux, l’accès à des vérandas et perchoirs.
En 2022, 25,83 millions d’animaux ont été abattus chaque mois en Belgique. En poids, les porcs représentent la plus grande part (60 %, 877.000 porcs/mois) tandis que les poulets se distinguent en nombre, avec 24,8 millions de poulets abattus par mois.
Suite au nouveau confinement des volailles afin d’éviter la propagation de la grippe aviaire, la pastille « Pour me protéger, je ponds à l’abri » est à nouveau mise en application.
En 2022, 29 foyers de grippe aviaire ont été identifiés et confirmés chez des volailles et des oiseaux captifs sur le territoire belge. Un bilan que l’Afsca qualifie de triste, précisant néanmoins qu’il est plus limité que dans les autres Etats membres.
L’institut israélien de recherche agronomique Volcani et la start-up américano-israélienne Huminn ont annoncé la création d’une souche de poules pondeuses ne mettant au monde que des femelles, évitant ainsi d’éliminer les poussins mâles à la naissance.
Frappé par la grippe aviaire, un élevage dans l’Ouest de la République tchèque va devoir abattre 750.000 poules, a annoncé mercredi l’Administration vétérinaire d’Etat (SVS).
L’Europe connaît depuis plus d’un an l’épidémie de grippe aviaire « la plus dévastatrice » jamais observée sur son sol, ont indiqué mardi les autorités sanitaires, avec environ 50 millions de volailles abattues dans les élevages infectés par le virus.
Il est possible d’influencer favorablement les concentrations d’ammoniac dans le poulailler par le biais de l’alimentation des poulets de chair. Via la litière, sans impact négatif sur le bien-être des animaux, c’est moins évident. C’est ce qu’a montré la recherche doctorale de Madri Brink (ILVO/UGent).
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