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Implanter des intercultures fourragères après la sécheresse (Partie 2)

Après une sécheresse marquée, le besoin de renouveler certaines parcelles de prairies dégradées peut conduire à une réorganisation de l’assolement. L’opportunité d’implantation d’intercultures ou de cultures en fin d’été peut alors permettre de développer des stratégies de productions fourragères complémentaires. Si les hivers rigoureux sont moins fréquents et exposent moins les cultures aux gels précoces, les fins d’étés sont en revanche de plus en plus sèches et compliquent certaines implantations sous la menace de « coup de sec » après levée.

Après la récolte des maïs, et notamment si les récoltes sont avancées, ce qui est souvent le cas après une sécheresse, les surfaces libérées peuvent contribuer à la production de fourrages si elles ne sont pas destinées à la culture de céréales. Il peut être intéressant d’opter pour des couverts végétaux valorisables soit par le pâturage soit par la récolte au printemps.

Privilégier les espèces à croissance rapide

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