Accueil Bovins

Bovins

Bovins

Quelle valeur nutritive pour le maïs grain humide à destination des bovins?

Bovins Le maïs récolté en grain et conservé par voie humide est majoritairement utilisé par les producteurs de porcs. Bien que les éleveurs de bovins privilégient l’ensilage plante entière, le maïs grain humide (MGH) permet d’ajuster le niveau énergétique de la ration, voire de constituer la base d’un régime d’engraissement. Récolté à 35 % d’humidité du grain, broyé à la ferme et stocké en milieu anaérobie, le MGH est un concentré fermier de premier choix pour les bovins.
L'info en continu Voir toute l’actualité en continu >

Abonnez-vous

Recevez Le Sillon Belge chaque semaine chez vous et bénéficiez d'un accès à tout le site : Articles, météo et cotations des marchés agricoles

Voir l'offre d'abonnement

«Automatisez ce que vous pouvez et faites appel à un entrepreneur si vous y gagnez en rentabilité»

Jan Cobbaert est un homme de chiffres. Sa philosophie est relativement simple et se décompose en deux piliers. D’une part, automatiser ce qui peut l’être – sans en faire trop ! –, ce qui permet de faciliter le travail tout en réalisant certaines économies. D’autre part, ne pas hésiter à faire appel à un entrepreneur si cela permet d’accroître la rentabilité de son exploitation.

Maladies respiratoires des bovins: une approche tant globale que ciblée

En période hivernale, le confinement et la promiscuité à l’étable engendrent souvent de nombreuses pathologies respiratoires parmi les bovins de tout âge. Leur prévention nécessite la mise en place de mesures de biosécurité et leur traitement un diagnostic vétérinaire, au besoin étayé par des résultats du laboratoire.

Des évolutions toujours contrastées

La production laitière dans les principaux bassins exportateurs est apparue contrastée fin 2020. Si elle a poursuivi sa croissance aux États-Unis et en Argentine, elle a marqué le pas en Océanie.

À l’heure des choix pour pérenniser l’avenir de l’élevage bovin en Wallonie

Si l’élevage bovin wallon fait face à un tournant de son histoire, son avenir reste incertain. Aujourd’hui, se profile une sorte de nouvelle révolution pour le secteur qui doit faire face à des choix aux conséquences économiques, sociales et environnementales importantes : poursuivre le modèle hyper-productiviste en s’engageant dans la révolution technologique actuelle, prendre la direction de l’agroécologie ou conserver une compétitivité à l’international tout en renforçant l’ancrage local ?

Le choix des lecteurs

Fin du projet Protecow: «Ayez confiance dans la qualité de vos fourrages»

Le projet Interreg Protecow, qui vise à améliorer la rentabilité des exploitations laitières grâce à une meilleure efficacité alimentaire, a pris fin en décembre dernier. Il a permis l’échange de connaissances et d’expériences entre 5 partenaires et 18 producteurs laitiers situés de part et d’autre de la frontière franco-belge.

En Belgique, en 2020: davantage de porcs abattus, mais moins de bovins

Si le secteur belge de l’abattage a connu une année 2020 meilleure que 2019, la crise sanitaire que nous connaissons actuellement a eu, sans conteste, une influence sur le nombre d’animaux abattus et leurs poids. Ainsi, selon les chiffres de Statbel, l’Office belge des statistiques, les abattages de porcs sont en hausse malgré des prix en berne. Côté bovins, la situation varie selon que l’on s’intéresse aux veaux, vaches ou taureaux.

L’EMB demande aux États membres et à la Commission européenne d’approuver les instruments de crise de l’OCM

Au niveau européen, le Parlement, le Conseil et la Commission négocient actuellement en trilogue sur l’avenir de la politique agricole commune (pac). Le Parlement européen a adopté le 23 octobre 2020 sa position sur la réforme de l’Organisation commune des marchés (OCM) au sein de la pac. Elle comporte des propositions qui permettraient de rendre l’agriculture en général, et le secteur laitier en particulier, plus résistants aux crises.