Recevez Le Sillon Belge chaque semaine chez vous et bénéficiez d'un accès à tout le site : Articles, météo et cotations des marchés agricoles
Voir l'offre d'abonnementL‘Institut royal belge pour l’amélioration de la betterave a obtenu deux dérogations d’urgence « 120 jours » pour des insecticides foliaires afin de lutter contre les pucerons verts et contrôler la jaunisse virale.
Le Réseau de soutien à l’agriculture paysanne (Résap) et la Fédération unie de groupements d’éleveurs et d’agriculteurs (Fugea) ont manifesté jeudi matin devant les cabinets des ministres de l’Agriculture, Willy Borsus, et de l’Environnement, de la Nature et de la Ruralité, Céline Tellier, à Namur. La délégation s’est mobilisée pour obtenir le refus d’un projet d’agrivoltaïsme, une technique qui associe l’exploitation agricole et la production d’électricité photovoltaïque, à Aiseau-Presles, dans la province de Hainaut.
Les produits de protection des plantes (PPP) sont composés d’une ou de plusieurs substances actives qui définissent le spectre d’efficacité de chaque produit. Avant de pouvoir être incluse au sein de produits formulés, chaque substance active doit être homologuée au niveau des autorités européennes.
La volatilité des prix ne facilite pas les prises de décision en ce qui concerne la protection fongicide de l’escourgeon. Il n’est en outre pas coté sur Euronext, ce qui complique l’estimation du prix avant la récolte.
Les escourgeons ont maintenant atteint le stade épi à 1 cm (BBCH 30) dans la majorité des parcelles du réseau d’observation du Cepicop et 3 d’entre elles sont au stade 1er nœud (BBCH 31).
Les champs de colza d’hiver se colorent actuellement de jaune. La floraison des variétés précoces a démarré. Les variétés tardives n’ont pas encore commencé à fleurir, même si la taille des plantes est identique. Les irrégularités au sein des parcelles sont bien visibles.
La question relative aux nouvelles technologies génomiques est revenue sur la table du conseil des ministres européens de l’Agriculture du 26 mars. La demande émanait de l’Espagne qui avait sollicité la présidence belge pour tenter de faire avancer les discussions sur ce dossier, à l’arrêt depuis plusieurs semaines.
Plus que d’autres années, il faudra, cette saison, compter et peser les plants de pom-mes de terre pour chaque variété et calibre afin d’adapter la densité de plantation à divers critères de production.
Suite à la faible disponibilité en plants, les agriculteurs devront recourir à des alternatives. Pierre Lebrun, directeur de la Fiwap, appelle à la prudence, sur le plan sanitaire notamment.
La faible disponibilité en plants de pommes de terre obligera les patatiers à recourir au coupage. Cette technique requiert néanmoins la plus grande prudence, afin de ne pas mettre en péril sa production future.
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