Recevez Le Sillon Belge chaque semaine chez vous et bénéficiez d'un accès à tout le site : Articles, météo et cotations des marchés agricoles
Voir l'offre d'abonnementLes mesures proposées par le ministre wallon de l’Environnement, Carlo Di Antonio (cdH), afin de réduire l’impact des pesticides sur le territoire wallon ont été approuvées par le gouvernement wallon.
Alors que l’Europe se dirige vers une politique agricole commune modernisée, les entrepreneurs se disent particulièrement bien outillés pour y répondre.
La faucheuse est, en toute logique, un incontournable de la récolte des fourrages. Toutefois, lors de l’achat d’une nouvelle machine, il n’est pas facile de s’y retrouver face aux différents modèles mis sur le marché par les constructeurs. La seconde partie de ce guide pratique vous aidera à vous poser les bonnes questions, afin que le modèle récoltant vos faveurs corresponde aux réalités de travail dans votre exploitation.
Le marché de l’agroéquipement outre-Quiévrain est attendu en hausse de 5 % cette année, à 5,3 milliards d’euros, a annoncé récemment le syndicat des constructeurs de machines agricoles (Axema). Ce marché avait fortement décliné en 2010 à 4,23 Mrd€, puis atteint un pic en 2013 à 6,5 Mrd€. Depuis 2014, il était en baisse, avant de se stabiliser en 2017 (+ 1 %).
La faucheuse est à la base de la récolte des fourrages et occupe à ce titre une place prépondérante dans le parc de matériel des fermes d’élevage, mais aussi des entreprises de travaux agricoles. Il s’en vend environ 650 chaque année dans notre pays, tous modèles confondus. Le panel de solutions techniques proposé en la matière par les constructeurs est particulièrement large. Le choix d’une nouvelle faucheuse doit être le fruit d’une réflexion préalable à son acquisition afin de s’assurer qu’elle répondra aux réalités de travail dans l’exploitation concernée. Quels critères prendre en compte au moment de poser ce choix ?
En matière de ventes de tracteurs, une année n’est pas l’autre. Ainsi, le marché belge des modèles de plus de 50 ch, orienté à la baisse depuis 2015, a repris des couleurs en 2017. Du côté des tracteurs de moins de 50 ch, la hausse des ventes amorcée en 2014 se poursuit. Les données enregistrées par la Direction Immatriculation des Véhicules (DIV) révèlent d’ailleurs que ces modèles ont connu un véritable boom l’année dernière.
La dérive des produits phytopharmaceutiques est une problématique d’actualité. L’instauration de zones tampons à respecter et la possibilité d’assouplir certaines de ces mesures par l’adoption d’équipements ou de moyens particuliers suscitent beaucoup d’interrogations chez les utilisateurs. Ce dossier représente l’occasion de passer en revue les exigences en la matière, d’évoquer l’offre en équipements pour le matériel de pulvérisation employé en grandes cultures et de définir les critères à prendre en compte lors du choix de ceux-ci.
La filière wallonne de la pomme de terre organise, entre les 12 et 17 février, trois après-midis de visites et d’informations sur les thèmes qui font l’actualité du secteur.
Si les immatriculations de tracteurs agricoles ont peu évolué durant l’année 2017 en France, on ne peut pas en dire autant des tracteurs pour vignes et verges (en baisse) et des tracteurs « espaces vertes » (en hausse fulgurante).
En décembre 2017, les sociétés leaders du marché du robot de traite, à savoir Lely et DeLaval ont fêté respectivement 25 ans et 20 ans d’existence en traite robotisée. Un anniversaire légitime d’autant que , lors du premier semestre de 2017, le robot de traite a représenté, pour la première fois, plus de 50 % des nouvelles installations de traite. Une raison suffisante pour la rédaction du Sillon Belge de parcourir les stands des deux constructeurs précités et celui de SAC pour faire le point. L’occasion de voir si les maladies d’enfance sont encore d’actualité.
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