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Voir l'offre d'abonnementL'Institut Royal Belge pour l'Amélioration de la Betterave fêtera cette année son 90e anniversaire. À cette occasion, l'institut organise une plateforme de démonstration les 29 et 30 septembre à Marbais, où les agriculteurs pourront s'informer sur les dernières évolutions agronomiques et technologiques en culture de betterave et de chicorée. Les agriculteurs pourront acquérir des points de phytolicence en participant à l'événement.
Une fois n’est pas coutume, la Raffinerie Tirlemontoise vient de lancer un projet dédié non pas à la betterave sucrière (ou, du moins, pas directement), mais bien à l’étude de la biodiversité fonctionnelle et aux moyens les plus adéquats de lui offrir le gîte et le couvert. À cet effet, pas moins de 25.000 m² de bandes fleuries ont été implantés en bordure de parcelles betteravières, en collaboration avec le Cra-w et une vingtaine de planteurs.
Chaque semaine, la présence de maladies foliaires est observée dans les champs du réseau d’avertissement de l’Irbab. Le nombre de champs ayant atteint le seuil de traitement pour 1 des 4 maladies foliaires cette semaine n’a pas fort progressé depuis la semaine dernière. La cercosporiose, la rouille, l’oïdium et dans une moindre mesure la ramulariose sont présents sur les parcelles de betteraves.
Il y a peu, la Raffinerie Tirlemontoise informait ses planteurs des perspectives de prix pour les betteraves en contrat de 2022 et 2023. Selon l’entreprise et son directeur des matières premières, Erwin Boonen, « la crise du marché est derrière nous et on peut regarder vers l’avant et prévoir plus d’emblavement pour 2023 ».
Le service d’avertissement pour les pucerons verts, mis en place par l’Irbab, se termine cette semaine. La fermeture des lignes est atteinte dans la plupart des parcelles, mettant fin à la période où les pucerons verts sont très nuisibles.
Agir maintenant permet d’éviter les problèmes futurs!
Le 31 mai, en Commission de l’Agriculture, le député wallon Nicolas Janssen a interpellé le ministre wallon de l’Agriculture, Willy Borsus, quant à la prolifération des pucerons à travers la région. Une situation qui inquiète les agriculteurs et qui nécessite de trouver des solutions efficientes et viables économiquement.
Dans les parcelles de betteraves sucrières, les températures restent favorables à la présence et au développement des pucerons. Par ailleurs, des betteraves à collet multiple sont également observées.
La cercosporiose peut entraîner de lourds dommages dans les parcelles betteravières, caractérisés par une baisse du rendement racinaire et, par conséquent, par un recul du rendement en sucre. Ce qui n’est pas sans impact sur la rentabilité de la culture… Pour s’en prémunir, il convient de respecter quelques mesures prophylactiques et, le cas échéant, d’intervenir au moment opportun.
En raison de la sécheresse, de nombreux agriculteurs rencontrent des problèmes de désherbage en betteraves sucrières, constate l’Institut royal belge pour l’amélioration de la betterave (Irbab).
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