Recevez Le Sillon Belge chaque semaine chez vous et bénéficiez d'un accès à tout le site : Articles, météo et cotations des marchés agricoles
Voir l'offre d'abonnementContrairement à une idée répandue, la majorité de la viande d’agneau consommée en Belgique durant la période de Pâques est importée, représentant jusqu’à 86 % de la consommation. Mais le secteur bouge et se professionnalise pour produire davantage et améliorer le taux d’autosuffisance.
Depuis 2007, la Belgique s’est engagée activement dans la lutte contre la Rhinotrachéite Infectieuse Bovine (IBR), avec comme objectif l’obtention du statut indemne pour l’ensemble de son cheptel bovin d’ici 2027.
En tant que premier maillon de la chaîne, l’agriculteur est confronté à la notion de biosécurité dans son quotidien. Parfois perçue comme un investissement peu rentable ou une contrainte par certains, elle est basée sur des pratiques simples et de bon sens pour d’autres. Deux éleveurs, l’un wallon, l’autre français, ont éclairé cette notion de leur expérience lors du récent symposium organisé par la Fesass à Bruxelles.
Au matin ou avant d’aller se coucher, en fromage ou en yaourt, le lait reste un produit star de notre alimentation. Et bonne nouvelle pour le secteur, cet aliment a toujours la cote dans les ménages wallons. Des consommateurs avec une bonne image de l’élevage laitier, mais qui ont à cœur d’opter pour des produits durables, correspondant à leurs valeurs environnementales.
L’organisation mondiale de la santé animale a approuvé l’auto-déclaration de la Belgique concernant le statut de pays indemne de l’influenza aviaire hautement pathogène chez les volailles.
Le Cra-w, associé à dix partenaires européens, lance un projet de recherche participative ayant pour ambition de proposer des innovations agroécologiques adaptées aux objectifs de différents territoires du nord-ouest européen.
Normes, défis, menaces, mise en œuvre… Où en est la biosécurité en Europe ? Brûlante d’actualité, la question a été au cœur du symposium organisé début mars à Bruxelles par la Fédération européenne pour la Santé animale et la Sécurité sanitaire (Fesass) sous l’égide de la présidence belge.
Une nouvelle filière de viande de chevreau sera lancée dans l’optique de créer «une chaîne de valeur équitable où chaque acteur est rémunéré», a annoncé mercredi le Collège des producteurs. Les objectifs sont également la valorisation des chevreaux issus de la production laitière et le soutien des éleveurs locaux. Une première action de commercialisation mettra la viande de chevreau en vente dès le 22 mars et jusqu’au 1er avril dans les magasins Cora.
Un Observatoire des vétérinaires (OBSVET) va voir le jour en Wallonie afin que la Région dispose d’une cartographie permanente et durable des entreprises vétérinaires actives dans la protection de la production agricole wallonne et particulièrement de sa production animale. Un montant de 248.000 euros lui sera accordé.
Vacciner n’est pas aussi anodin qu’il n’y paraît. Cet acte doit, en effet, être réfléchi en tenant compte de divers paramètres, tels que les pathogènes ciblés, l’âge du cheptel, l’état de santé des animaux… Il doit également s’envisager lorsque le troupeau semble sain mais pourrait être menacé par un pathogène émergent ou réémergent, ou en cas de risques liés à l’achat d’un animal.
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