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La présidence belge au révélateur de la fin de législature

À peine arrivée aux manettes du conseil de l’UE, la Belgique est déjà sous pression en raison de l’échéance électorale du mois de juin. Elle n’aura que trois à quatre mois utiles, au lieu de six, pour boucler tout ce qui peut l’être au niveau agricole.

L’agenda s’annonce très serré pour notre pays à qui il incombera, en plus, de commencer à songer au cours des prochains mois aux réformes institutionnelles exigées par les élargissements futurs. Bref sur la manière dont pourrait fonctionner une UE à 35 ou à 40.

Un agenda au pas de charge

Si les élections européennes se tiennent du 6 au 9 juin prochain, il faudra tenir compte de la campagne électorale qui les précédera...

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