Le dérèglement climatique menace l’économie et la sécurité nationale belges











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Plus de 43.000 signatures ont été récoltées, au travers de six pétitions différentes, afin de s'opposer et d'interdire les pesticides en Wallonie, particulièrement ceux considérés comme dangereux car s'appuyant sur des PFAS, souligne lundi Canopea. A la veille de la fin des auditions parlementaires sur les pesticides, l'organisation environnementale wallonne encourage dès lors la majorité en place à faire des avancées significatives sur la question de la protection de la santé et de l'environnement.

Les experts des États membres de l'UE ont donné leur feu vert à la possibilité offerte aux agriculteurs de remplacer des engrais chimiques par des engrais à l'azote récupéré du fumier ou du lisier, a indiqué la Commission européenne.

La Belgique fait partie des pays qui réclament d'importantes garanties pour ses citoyens et ses entreprises afin de soutenir des objectifs climatiques ambitieux au niveau de l'Union européenne, ressort-il jeudi de son intervention au conseil des ministres de l'Environnement des 27 États membres de l'UE.

Durant le printemps et l'été qui a suivi, 184,4 mm de pluie sont tombés en Belgique, ce qui en fait la période (1er mars - 31 août) la plus sèche depuis 1921 et la deuxième la plus sèche depuis 1892, ressort-il du bilan saisonnier de l'Institut royal météorologique (IRM). La normale pour cette période est de 399,8 mm.

Le Cuivré de la bistorte et le Damier de la succise sont deux papillons aussi rares qu’essentiels. En les protégeant, la Wallonie préserve bien plus que des insectes : elle redonne vie à tout un pan de biodiversité. Un combat aussi discret qu’eux, qui se gagnera avec le soutien des agriculteurs. Fragiles et élégants, les papillons sont aussi d’excellents indicateurs écologiques. Leur présence ou absence révèle la qualité du milieu. En les étudiant, c’est aussi l’évolution de la naturalité du territoire, des pratiques agricoles et des pressions environnementales qui est suivie.







Dans un contexte d’aléas climatiques de plus en plus fréquents et extrêmes, touchant tant les productions animales que végétales, les arbres et haies apparaissent comme de précieux alliés pour les agriculteurs.

Dans le cadre de la Foire de Libramont, Natagora, la Fugea et Natagriwal ont remis les prix de leur concours « Qu’elle est belle ma prairie ! Des fermes autonomes, des prairies florissantes ». La première place revient à la ferme Leurquin, à Chimay (province de Hainaut). Maxime Mélon, éleveur à Viroinval (Hainaut également), est arrivé second tandis que Mathéo Anceau, installé à Doische (province de Namur) a remporté le prix « jeune ».

La Foire de Libramont était également l’occasion pour les entrepreneurs de promouvoir et de défendre leurs projets innovants, à l’occasion d’Agreen Startup. À la clé de ce concours ? Une dotation financière, mais également un stand sur la foire. Parmi les lauréats, nous retrouvons l’équipe d’IsiRecycle, présentée dans notre édition du 10 juillet.

Il est possible d'accroître la production agricole pour éradiquer la malnutrition dans le monde en 10 ans tout en réduisant les émissions de gaz à effet de serre de l'agriculture, soulignent la FAO et l'OCDE dans un scénario.

Une chose est sûre : les étudiants de la haute école Charlemagne ne manquent ni de talent, ni de créativité. Dans le cadre de leur cours sur l’entrepreneuriat, ces jeunes de première master ont créé plusieurs projets innovants. Des plastiques agricoles transformés en mobilier design, au cornet permettant, même aux intolérants au lactose, de déguster une glace… tour d’horizon de ces réalisations que l’on espère retrouver dans le monde de demain.
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