Un effet collatéral positif sur l’agriculture
Qui aborde l’agriculture s’intéresse aux sciences « BCBG », l’acronyme signifiant ici « Botanique-Chimie-Biologie-Génétique ». Le point commun entre ces quatre sciences, c’est l’ADN. Cet acronyme-là, tout le monde le connaît. Il n’est pas une série policière où l’on ne parle pas de trace d’ADN. Même notre bon roi Albert II en sait quelque chose…
Depuis Mendel, les sélectionneurs ont compris ce qu’est le génome et proposent de nouvelles variétés tous les ans. Avec leurs pinces à épiler et autres astuces techniques, ils croisent le pollen d’une plante avec une autre en espérant que le rejeton soit plus performant que la génération qui l’a précédé.
Depuis, les connaissances ont permis de décortiquer ce génome et d’identifier le moindre segment qui génère la plus petite propriété, notamment de défense contre les parasites.
L’ADN, c’est aussi le point...
Article réservé aux abonnés
Accédez à l'intégralité du site et recevez Le Sillon Belge toutes les semaines
Déjà abonné au journal ?
Se connecter ou Activez votre accès numérique