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Voir l'offre d'abonnementLes pluies incessantes, et parfois diluviennes, de cet été, conjuguées à un printemps humide et peu ensoleillé, ont nui à la qualité des récoltes, que ce soit des poires, le fruit le plus cultivé en Belgique, de plusieurs céréales et mêmes des pommes de terre, autre culture emblématique du Plat Pays.
Les inondations catastrophiques de juillet ont causé de nombreux dégâts matériels et emporté plusieurs vies humaines. Pour les agriculteurs, une série de questions se pose également quant aux parcelles ayant été inondées, notamment en matière de potentielles contaminations des eaux, terres et récoltes.
Statbel, l’office belge de statistique, vient de livrer ses estimations définitives sur la récolte 2020. Il en ressort que pratiquement toutes les cultures arables ont vu leur rendement reculer par rapport à 2019.
La présence de la mouche mineuse des Alliacées est signalée à quelques encablures de la Belgique. De même, des symptômes de rouille et de mildiou sont déjà présents sur le feuillage des poireaux. Il convient donc de visiter régulièrement ses parcelles et de rester attentif quant au développement de ces insectes et champignons.
Début d’été, le Centre pilote Céréales, Oléagineux et Protéagineux asbl (CePiCOP) nous invitait à découvrir les essais menés par ses équipes, avec l’aide du personnel de la faculté, dans la région de Gembloux. Outre les traditionnelles expérimentations dédiées aux céréales et à l’optimisation du choix des intrants, le Centre s’intéresse également au développement de cultures alternatives ou en association.
Le service Phytoweb fait savoir que le nombre d’utilisations de certains produits permettant de lutter contre le mildiou de la pomme de terre a été revu à la hausse cette année.
La production française de vin devrait être en baisse de 24 % à 30 % en 2021 et se situer à un niveau « historiquement bas » en raison notamment de l’épisode sévère de gel printanier, a annoncé vendredi dernier le ministère français de l’Agriculture.
L’année 2020 se caractérise par un repli généralisé de la surface agricole dédiée aux cultures traditionnelles (céréales, betteraves, colza et pommes de terre). Seuls le lin et les légumes ont tiré leur épingle du jeu et s’affichent en hausse. Du côté des animaux, la taille du cheptel bovin diminue une nouvelle fois, contrairement aux nombres de porcs et volailles.
Le nombre de parcelles où le seuil de traitement de 5 % de feuilles touchées par la cercosporiose a considérablement augmenté par rapport à la semaine passée, constate l’Irbab.
Les premiers prélèvements destinés au suivi de culture ont été réalisés en Fontane, après 94 jours de culture, et en Challenger, après 94 jours de cultures. Les rendements moyens tous calibres sont respectivement de 26,6 t/ha et 27,8 t/ha.
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