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Voir l'offre d'abonnementLes eurodéputés ont entériné l’accord politique issu des négociations interinstitutionnelles concernant la révision des directives dites « Petit-déjeuner », dont l’étiquetage du miel fait partie.
Comme le lui demandaient les États membres et la commission, le parlement a décidé d’examiner les mesures de simplification de la Pac selon une procédure d’urgence qui limite fortement les possibilités de discuter en profondeur du texte. Objectif : adopter cette révision dès la fin avril, sans attendre les élections européennes, pour une entrée en vigueur en juin.
On les fait sortir par la porte, ils rentrent par la fenêtre. Les NBT et leur cohorte de débats suivis d’annonces puis d’atermoiements, s’invitent tour à tour depuis de long mois au conseil et au parlement européen où ils reviendront d’ailleurs une nouvelle fois à l’occasion de la dernière session plénière de la présente législature. Avec l’entrée en scène de l’Efsa appelée à se pencher sur le rapport de sa consœur française, l’Anses, ils s’offrent même un avant-dernier tour de piste cette semaine.
Marché en recul, chiffre d’affaires en baisse, prix de vente qui passent sous les prix conventionnels sont devenus courants en 2022 et 2023 dans les fermes bio. Le constat n’est pas favorable pour celles et ceux qui sont pourtant engagés dans des pratiques positives qui devraient être mieux valorisées : protection de la santé, de la biodiversité, des sols, de l’eau, du climat. L’Unab leur a donné la parole.
Les États membres de l’UE et le Parlement européen se sont accordés lundi pour imposer des restrictions renforcées sur les importations agricoles venant d’Ukraine. La présidence belge du Conseil de l’UE l’a indiqué lundi soir.
Les prix des produits alimentaires repartent à la hausse, dopés par la hausse des prix des huiles végétales et, dans une moindre mesure, des produits laitiers et de la viande.
Le Réseau de soutien à l’agriculture paysanne (Résap) et la Fédération unie de groupements d’éleveurs et d’agriculteurs (Fugea) ont manifesté jeudi matin devant les cabinets des ministres de l’Agriculture, Willy Borsus, et de l’Environnement, de la Nature et de la Ruralité, Céline Tellier, à Namur. La délégation s’est mobilisée pour obtenir le refus d’un projet d’agrivoltaïsme, une technique qui associe l’exploitation agricole et la production d’électricité photovoltaïque, à Aiseau-Presles, dans la province de Hainaut.
Alors que le vote devait être une formalité, les États membres sont incapables de valider l’accord trouvé avec le parlement européen sur la restauration de la nature. L’avenir du texte est incertain.
Après de nombreuses semaines de mobilisation des agriculteurs aux quatre coins du vieux-continent, les ministres européens de l’Agriculture ont entériné, la semaine passée, la révision de la Pac proposée par l’Exécutif 15 jours plus tôt. De loin le premier poste de dépense de l’UE avec un tiers de son budget, la Pac est plus que jamais devenue une manne qui ne semble plus satisfaire personne : ni ceux qui en bénéficient, ni, a fortiori, ses détracteurs.
À travers sa dernière campagne de communication, l’Apaq-W entend renforcer la collaboration entre producteurs locaux et agriculteurs qui, en travaillant ensemble, proposent de savoureuses histoires culinaires à leurs clients.
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