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Voir l'offre d'abonnementLa ministre wallonne de la Forêt, Céline Tellier, vient d’annoncer que les travaux forestiers vont pouvoir reprendre prochainement à certaines conditions en zone infectée par la peste porcine africaine (PPA).
Les pays nordiques ont connu des poussées de fièvre et sont en passe de boucler l’une des saisons hivernales les plus chaudes jamais enregistrées.
Nous terminons ici ce tour hivernal du jardin fruitier en abordant la taille des myrtilles arbustives, des espèces à fruits secs, des kiwis et des vignes. Pour ces deux dernières espèces fruitières, la taille se fera de préférence à la fin de l’hiver, lorsque les risques de grand froid sont écartés.
Tous les jardiniers ont déjà eu ces déconvenues : notre semis qui représentait tant d’espoirs de belle production ne produit rien. Ou presque rien. La cause de l’échec parfois évidente, mais pas nécessairement. Partons alors de ces expériences pour rebondir et revoir nos techniques.
La Confédération Belge du Bois et NTF-Propriétaires ruraux de Wallonie en ont
La Confédération belge du Bois et la fédération des Propriétaires ruraux de Wallonie manifesteront à Namur, le 20 février prochain, afin « d’exprimer leur ras-le-bol d’être sacrifiés sur l’autel de la peste porcine africaine », ont-ils annoncé ce mardi. Dans leur ligne de mire : la prolongation de l’interdiction d’accès aux zones infectées alors que « l’épidémie touche à sa fin ».
Nous pouvons cultiver plusieurs types de céleris dans nos jardins. Le céleri rave et le céleri à côtes sont les plus fréquents. Le céleri à jets est intéressant pour les usages condimentaires en cuisine. Le céleri perpétuel est d’une autre espèce, appelée aussi Livèche officinale ou Levisticum offinale.
L’agriculture biologique profite aux colonies d’abeilles mellifères pendant la période de disette alimentaire en fin de printemps. C’est ce que viennent pour la première fois de démontrer des chercheurs français en suivant des colonies d’abeilles domestiques durant 6 années dans le sud ouest de la France.
Les spécialistes de Natagora ont observé que certaines espèces déclinent très nettement, selon les premières conclusions des données récoltées ce week-end pendant le grand recensement des oiseaux communs de nos jardins.
Précédemment (lire notre édition du 9 janvier), nous avons abordé quelques données générales et la taille des pommiers et poiriers. Cette semaine, c’est au tour des espèces à noyau et des petits fruits ligneux, dont les opérations de taille sont tout aussi importantes.
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