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Voir l'offre d'abonnementAprès une année 2020 mouvementée, le secteur de l’abattage belge a connu une année 2021 encore plus mouvementée. Les abattoirs de porcs ont traité beaucoup d’animaux, parfois à contrecœur. Les segments des bovins ont traité moins de volume, à l’exception peut-être de celui des veaux. Voici une brève rétrospective des différents segments d’abattage pour 2021.
La baisse de la cotisation des producteurs laitiers peut être justifiée par la diminution des cas graves de botulisme
Depuis 3 ans, le projet Effort, mené par le Centre wallon de Recherches agronomiques (Cra-w), vise à améliorer la valorisation des ressources fourragères dans les exploitations laitières. Un enjeu de taille puisque les fourrages, ne serait-ce qu’au sein d’une même exploitation, présentent une qualité fort variable.
Des chirurgiens américains ont réussi à greffer sur un patient humain un cœur issu d’un porc génétiquement modifié, une première mondiale, a annoncé l’école de médecine de l’université du Maryland. L’opération a été menée le 7 janvier et a permis de montrer pour la première fois qu’un cœur d’animal pouvait continuer à fonctionner à l’intérieur d’un humain sans rejet immédiat, a expliqué l’institution dans un communiqué.
Dans le cadre de l’élevage de poulets de chair, la sélection génétique sur la croissance musculaire a conduit à des problèmes de santé liés notamment au surpoids, à l’accumulation de graisse et au stress. Une équipe de l’Inrae a étudié l’intérêt d’ajouter des extraits de pépins de raisin dans l’aliment des poules reproductrices, mères des futurs poulets de chair. Leurs résultats montrent que ce complément améliore l’équilibre du microbiote intestinal des poules, réduit leur production de graisse et améliore la qualité de leurs œufs, ainsi que la croissance et la viabilité des poussins qui en sont issus.
Cela fait des milliers d’années que l’homme et l’animal cohabitent et interagissent dans l’objectif vertueux de nourrir les populations. Une relation qui a pris une tout autre dimension avec le développement exponentiel de l’informatique qui s’est inéluctablement rapprochée de l’élevage pour se mettre à son service.
Si l’agriculture a été de toutes les évolutions technologiques, la massification et la densification des données stockées et partagées dans le « cloud » constituent un enjeu crucial touchant à leur privatisation. Le débat, urgent, est au cœur du secteur de l’élevage de demain.
De nombreux agriculteurs sont à la recherche de davantage d’autonomie alimentaire. Ces témoignages, recueillis auprès de 16 éleveurs, devraient quelque peu faciliter leur démarche.
La France compte 41 foyers de grippe aviaire en élevage, dont un premier en Vendée (Ouest), a annoncé le 4 janvier le ministre de l'Agriculture Julien Denormandie, évoquant une "grande source de préoccupation".
Rouvrir la possibilité d’abattre des animaux à la ferme est une idée qui fait son chemin depuis plusieurs années. Motivée par un gain de bien-être animal, de qualité de la viande ou encore par la raréfaction des abattoirs, cette possibilité est déjà pratiquée dans quelques pays d’Europe.
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