Recevez Le Sillon Belge chaque semaine chez vous et bénéficiez d'un accès à tout le site : Articles, météo et cotations des marchés agricoles
Voir l'offre d'abonnementLe gouvernement néerlandais a décidé de mettre fin à l'élevage de visons après que plusieurs cas de coronavirus aient éclaté dans diverses exploitations.
Après avoir décroché jusqu’à la mi-avril, les cours des ingrédients laitiers se sont redressés et ont, pour certains, retrouvé leurs niveaux d’avant crise. La fermeté des marchés se confirme sur la fin du 1er semestre. Mais la poursuite de la propagation du Covid-19 dans certaines parties du monde ou le reconfinement au sein de certains pays, ainsi que la crise économique à venir, interrogent sur la durabilité de cette reprise.
La Covid-19, qui connaît une recrudescence chez nos voisins français, continue de faire des ravages dans les salons agricoles. Cette fois, c’est le grand rendez-vous international des races bovines dans le Massif Central qui n’aura finalement pas lieu début octobre !
Depuis la tragédie survenue dans une ferme laitière de Wuustwezel (province d’Anvers) en 2018 (184 animaux morts), il est devenu clair que le botulisme est le tueur silencieux par excellence pour le bétail laitier. Bien que la maladie soit rare, ses conséquences peuvent être catastrophiques.
Depuis quelques semaines, un nombre croissant d’animaux infectés par le sérotype 8 du virus de la fièvre catarrhale du mouton (BTV8) a été signalé en France, principalement dans l’extrême sud-ouest du pays.
La 4e édition du concours wallon des meilleurs fromages au lait cru de Wallonie a été reportée au lundi 5 octobre. Les inscriptions seront quant à elles ouvertes du 1er au 25 septembre.
En Wallonie comme ailleurs, l’augmentation de la fréquence des épisodes de sécheresse perturbe les systèmes fourragers. Le ray-grass anglais est la graminée la plus utilisée dans les mélanges fourragers et la plus présente dans les prairies permanentes, mais elle est particulièrement sensible au déficit hydrique et aux températures caniculaires.
Les effets de la Covid-19 dans l’Union européenne et aux États-Unis ont entraîné un recul de la production laitière dans l’hémisphère Nord en avril. Ce recul a été compensé par la progression dans les bassins du Sud qui se trouvent dans le creux de leur collecte annuelle, mais la croissance de la production se tasse après avoir connu un pic de croissance en mars.
Les investissements dans les protéines alternatives ont connu une accélération significative au cours des 6 premiers mois de l’année.
L’été bat son plein et nous connaissons, depuis une quinzaine de jours, des températures particulièrement élevées. Comme nous, les animaux souffrent de cette situation… Le stress thermique peut fortement les impacter et ce, à divers niveaux (bien-être, production, alimentation, fertilité…). Il est donc important de protéger au maximum les troupeaux des fortes chaleurs.
Abonnez-vous à Le Sillon Belge
Voir l’offre d’abonnement