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Voix de la terre

Voix de la terre

Une fois n’est pas coutume

Voix de la terre À ma grande surprise l’article « Les vampires des labos » de Marc Assin m’a laissé perplexe et, une fois n’est pas coutume, cela m’a semblé manqué d’objectivité. Son complément dans « Trop de gens nous aiment » conforte mon avis. Visiblement, ses souvenirs macabres de lutte contre la brucellose façonnent son opinion.
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40 jours sans viande,pour ou contre?

Début de semaine, on apprenait le lancement, en Wallonie, d’une campagne « Jours Sans viande » du 1er mars ou 15 avril. Les professionnels du secteur et certains consommateurs ont vivement réagi à cette annonce.

Trop de gens nous aiment

Nom d’un petit bonhomme ! Me voici monté en grade, à l’insu de mon plein gré : je serais devenu « populiste ». Et bien dites donc, je ne m’attendais guère, lorsque j’ai écrit « Les vampires des labos », à rentrer dans le club très sélect des Donald Trump & Cie. Le costard taillé pour moi par l’Arsia m’est mille fois trop grand, je n’en méritais pas tant. Même mon chien en a ri, quand je lui ai raconté…

Che Guevagra

Un heureux concours de circonstances a déposé devant mes yeux une très vieille gazette, « L’action syndicale paysanne », datée d’avril 1963. Il s’agissait d’une publication mensuelle de l’ASDEA (Action Syndicale Des Exploitants Agricoles), un mouvement qui appelait tous les agriculteurs à s’unir pour mieux se défendre contre la « politique de la grosse agriculture », pour employer leur expression favorite. Sa devise était « Unité et Solidarité ».

Le choix des lecteurs

Les USA… pas si loin

En 1994, un groupe d’agriculteurs belges dont je faisais partie parcourait le Middle-West américain en voyage d’étude. Nous y recherchions des réponses aux questions que nous nous posions face aux difficultés d’obtenir des prix stables et rentables pour nos produits, aux accords du GATT (aujourd’hui rebaptisé OMC) et à l’apparition de nouveaux critères de qualité environnementale et de la traçabilité.

Bien «cher» Vétérinaire

Agricultrice et éleveur de BBB, qu’elle ne fut pas ma surprise lors de l’ouverture de ma première facture frais vétérinaire de l’année 2017 :

Le Radeau de la Méduse

Naguère, les agriculteurs éprouvaient beaucoup de joie et de fierté, lorsque l’un de leurs enfants se destinait à reprendre l’exploitation familiale, pour perpétuer ainsi une lignée ancestrale. Aujourd’hui, ces sentiments légitimes de bonheur ont fait place à un grand questionnement, une certaine anxiété, voire une véritable panique, si un fils ou une fille désire franchir le pas. Dans notre monde moderne, le contexte a bien changé, et pas vraiment en positif…

Le métier d’étalonnier, vu par une amie des chevaux

Le sillon belge est un agréable journal lu par une majorité d’agriculteurs mais surtout par des personnes partageant l’amour de la nature dans toutes ses expressions. Pour ceux et celles qui, comme moi, ne sont experts en rien mais intéressés par tout, je me suis attardée en toute modestie sur le métier d’étalonnier, métier peu fréquent aujourd’hui.

Brucella, on supprime tout…

À la mi octobre, la ferme La Belle Croix SocAgr à Jéhonville, dans l’entité de Bertrix recevait un avis de la laiterie stipulant la détection du germe brucella suis biovar 2 dans son lait. Les propriétaires furent très étonnés de cette découverte puisqu’ils n’avaient dû faire face à aucun avortement dans leur exploitation laitière Bio.