Recevez Le Sillon Belge chaque semaine chez vous et bénéficiez d'un accès à tout le site : Articles, météo et cotations des marchés agricoles
Voir l'offre d'abonnementS’il s’agit là de deux situations opposées, elles découlent, du moins en partie, d’un seul et même événement : le conflit russo-ukrainien. Celui-ci a, en effet, entraîné une hausse des prix des céréales, poussant un certain nombre d’agriculteurs à semer davantage de céréales de printemps. En parallèle, cela a fait grimper les prix des aliments pour animaux vers des sommets, ce qui s’est traduit par un fléchissement des cheptels bovins et porcins.
Après avoir démarré timidement, les plantations de pommes de terre ont été mises à l’arrêt dans plusieurs régions. En cause ? Les pluies…
L’Institut royal belge pour l’amélioration de la betterave (Irbab) constate que les conditions actuelles sont très propices à la levée des chicorées et des adventices, mais également aux attaques de limaces.
Les pois ont commencé à fleurir dans les premières parcelles de froment-pois semées à la fin octobre. Un traitement fongicide pourra donc être envisagé prochainement lorsque le pois sera en pleine floraison.
Les observations ravageurs hebdomadaires démarrent et portent essentiellement sur les pucerons.
Le colza poursuit sa floraison. Les conditions humides et le retour de meilleures températures sont favorables au développement des plantes et à la sortie des insectes pollinisateurs.
Les fonds rassemblés pour une initiative visant à développer une agriculture plus respectueuse de l’environnement et du climat ont atteint 13 milliards de dollars, ont annoncé les États-Unis et les Émirats arabes unis.
Alors que les semis sont actuellement à l’arrêt, l’Irbab attire déjà l’attention des planteurs sur le désherbage, mais aussi sur la présence de pucerons.
Plus de 17.000 agriculteurs, 1.200 entrepreneurs et 300 horticulteurs belges sont actuellement certifiés pour le Standard Vegaplan. Tous devront travailler sur base d’une nouvelle version de leurs Standards respectifs dès le 3 juillet prochain.
Lorsque nous voyons les statistiques concernant le nombre de fermes maraîchères et les besoins de la population pour se nourrir, il paraît évident que nous manquons de productions locales.
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