Recevez Le Sillon Belge chaque semaine chez vous et bénéficiez d'un accès à tout le site : Articles, météo et cotations des marchés agricoles
Voir l'offre d'abonnementLes fortes précipitations d’octobre et de novembre sont à l’origine d’un retard évident d’arrachage. C’est en Flandre-Occidentale et orientale, en Campine et dans le Hainaut, que la situation est la plus grave, mais il y a aussi beaucoup de problèmes ailleurs.
La question des émissions de gaz à effet de serre et du carbone est cruciale en agriculture. Il en découle d’ailleurs plusieurs idées. L’une d’elles concerne les prairies permanentes. S’il est vrai que le sol y constitue un réservoir de carbone considérable, il est faux de dire que ce sont globalement des puits de carbone dont le stock total augmente. L’enjeu majeur est bien de conserver ce stock, de même que celui des terres arables. Un second développement détaille la contribution de l’élevage bovin aux émissions de GES, tenant compte de la production fourragère, y compris les prairies permanentes.
Bizarrement, aujourd’hui, le nom d’un produit change selon l’idéologie ou la profession de celui qui l’utilise alors que le dictionnaire nous dit qu’une dénomination correspond à la désignation d’une même chose ou d’une même personne.
Le temps se rafraîchit… l’idéal pour déguster ces quelques gratins.
Le choix de la date et de la technique de destruction des couverts dépendent non seulement des caractéristiques du mélange à détruire mais également de son développement, du mode de gestion de l’exploitation et du calendrier réglementaire. Retour sur quelques conseils agronomiques en fonction de la « nature » de la couverture hivernale.
Oui.
Les États membres de l’UE ne sont une nouvelle fois pas parvenus à dégager de majorité qualifiée pour (ou contre) la réautorisation du glyphosate dans l’UE lors d’un vote en comité d’appel le 16 novembre. Divisée sur la question, la Belgique s’est, comme prévu, abstenue lors du vote.
Des chiffres, toujours des chiffres ! Dès qu’un problème se pose, vite, on collecte des données, on calcule, on analyse, on communique. On récolte des preuves à charge pour bétonner son postulat ; on cherche des petits papiers à décharge pour se dédouaner quand on est dans ses petits souliers, qu’il s’agisse par exemple de pollution aux PFAS des eaux potables -parlez-en à Céline Tellier… –, d’inondations « imprévues » dues aux 250 mm/m² de pluies de ces trente derniers jours, de négligences sécuritaires nationales, etc.
Faut-il opposer l’écologie à l’économie, à la souveraineté alimentaire et au renouvellement générationnel ? Non, ont assuré l’EMB et Via Campesina lors d’un débat organisé la semaine dernière autour de l’eurodéputé Benoît Biteau au cours duquel plusieurs intervenants ont souligné l’importance de la régulation des marchés agricoles et de la garantie de prix justes pour atteindre les objectifs du Pacte Vert.
Le parlement européen et les États membres de l’UE sont parvenus dans la soirée du 9 novembre à un accord politique sur le projet de loi sur la restauration de la nature qui intègre le secteur agricole mais prévoit, pour celui-ci, un certain nombre de flexibilités.
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