Recevez Le Sillon Belge chaque semaine chez vous et bénéficiez d'un accès à tout le site : Articles, météo et cotations des marchés agricoles
Voir l'offre d'abonnementLes températures dans le sol sont encore un peu basses, nous pouvons espérer commencer les semis au cours de la deuxième semaine de mai. Profitons de l’occasion pour faire un point d’actualité
La Commission européenne propose ce 22 avril des mesures d’urgence pour les marchés agricoles les plus touchés.
Les cultures maraîchères sont très sensibles aux dégâts sur plantules, aux lésions sur le légume et à la présence de ces ravageurs entre les feuilles et dans les pommes (laitues, chicorées, choux). Voyons comment lutter.
Après avoir interdit l’entrée de saisonniers sur son territoire, par crainte des risques potentiels en termes d’épidémie, l’Allemagne fait machine arrière!
En raison des mesures de prévention prises pour limiter la propagation du Covid-19, de nombreux travailleurs saisonniers européens ne peuvent plus se rendre en Belgique pour travailler et ce, alors que la saison de récolte de nombreux fruits et légumes est imminente. Le Conseil des ministres a donc décidé de permettre aux travailleurs occasionnels des secteurs de l’agriculture et de l’horticulture de travailler plus longtemps, afin de s’assurer qu’il y aura suffisamment de cueilleurs pour faire face aux besoins.
Malgré l’opposition des organisations agricoles du pays, l’Allemagne a interdit l’entrée sur son territoire des travailleurs saisonniers étrangers.
Au lancement d’une activité de production maraîchère, bien sûr, la position géographique du point de vente, la qualité des sols, la disponibilité en eau et en énergie sont importants. Mais la main-d’œuvre est le premier facteur de production!
Le maraîchage diversifié sur petites surfaces – soit cultiver jusque 40 à 60 légumes différents sur une surface allant de 30 ares et 2 ha environ – attire de plus en plus de candidats. Le constat est toutefois alarmant : beaucoup d’exploitations disparaissent endéans les cinq ans. La faute à quoi ? La concurrence du « bio » des grandes surfaces ? La pénibilité physique du métier Rencontre avec Anne à Haltinne.
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