Recevez Le Sillon Belge chaque semaine chez vous et bénéficiez d'un accès à tout le site : Articles, météo et cotations des marchés agricoles
Voir l'offre d'abonnementL’irrigation traditionnelle pratiquée en Wallonie, connue sous le nom d’« abissage », a été reconnue le 5 décembre par l’Unesco en tant que patrimoine culturel immatériel de l’humanité. Cette inscription vise à accroître la visibilité des connaissances, du savoir-faire et de l’importance culturelle associée à cette pratique ancestrale.
Pour certains jardiniers, le plaisir du jardinage permet de produire douze mois sur douze. Chez ceux-là, il reste encore pas mal de légumes différents au potager. Les planifications des semis, des plantations et la diversité des espèces se complètent. En effet, récolter des légumes frais toute l’année demande une réelle organisation ainsi qu’une bonne planification.
De nombreuses pratiques peuvent avoir un effet climatique net positif sur la réduction des émissions de gaz à effet de serre d’origine agricole. Leur effet reste cependant marginal par rapport à une réduction cible de 80 à 95 % des émissions à l’horizon 2050. Pour atteindre des objectifs ambitieux, il n’y a pas d’alternatives autres que soutenir des systèmes qui assurent aux sols un bilan d’humus favorable, proscrivent le labour des prairies permanentes, accroissent leurs surfaces… Quant aux solutions technologiques, elles peuvent être utiles, mais n’ont pas démontré de rôle déterminant en pratique.
Le compost joue un rôle important pour obtenir des récoltes fructueuses. Et afin de préparer au mieux ses plantations pour 2024, le jardinier devra choisir quelles seront les méthodes qu’ils souhaitent employer, en fonction de son type de cultures, mais aussi de l’endroit où se trouve son potager.
Cette mesure s’ajoute à plusieurs dispositions, qui sont actuellement soumises à l’examen du Conseil d’État, afin de diminuer les populations de grand gibier et d’endiguer l’expansion de l’espèce sanglier, notamment via la destruction et le nourrissage.
Ce n’est un secret pour personne : depuis plusieurs années, notre climat change, ce qui n’est pas sans impact sur les cultures fruitières. Dans le cadre de la création ou de la modernisation d’un verger, ce facteur doit désormais être pris en compte avec le plus grand sérieux.
La question des émissions de gaz à effet de serre et du carbone est cruciale en agriculture. Il en découle d’ailleurs plusieurs idées. L’une d’elles concerne les prairies permanentes. S’il est vrai que le sol y constitue un réservoir de carbone considérable, il est faux de dire que ce sont globalement des puits de carbone dont le stock total augmente. L’enjeu majeur est bien de conserver ce stock, de même que celui des terres arables. Un second développement détaille la contribution de l’élevage bovin aux émissions de GES, tenant compte de la production fourragère, y compris les prairies permanentes.
Un groupe international de chercheurs souhaite connaître l’impact des microplastiques sur les terres cultivées. Participez à l’enquête et bénéficiez d’une analyse de sol gratuite.
Le jardinier qui choisit de ne pas bêcher son potager peut choisir la technique du paillis permanent. Le principe est de protéger le sol avec une couche d’origine végétale. L’eau de pluie peut pénétrer dans la terre, tandis que le paillis empêche un grand nombre d’espèces de plantes sauvages de germer. Ce dernier reste en place en été et limite l’évaporation d’eau.
Hygea, en collaboration avec les administrations communales concernées, organise une grande collecte de bâches agricoles du 23 novembre au 14 décembre via les recyparcs de la région du Centre.
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