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« Pour les fermiers du Canada et de l’UE, les traités de libre-échange sont négatifs »

Le traité de libre-échange entre l’Union européenne et le Canada n’apporte rien aux agriculteurs. Au contraire, les agriculteurs des deux côtés de la grande mare aux canards pourront être confrontés à des prix plus bas et se voir imposer des normes différentes par des multinationales. « Le fermier et le citoyen sont hors jeu ». Voilà le résumé d’un entretien avec Jan Slomp, vice-président de la NFU, une organisation agricole canadienne.

Le traité de libre-échange entre le Canada et l’Union européenne, mieux connu sous son acronyme CETA (Comprehensive Economic and Trade Agreement) est en vigueur depuis septembre 2017. Toutefois, à peine 6 pays sur les 27 (ou 28) de l’Union Européenne l’ont ratifié. On se souviendra que le parlement wallon s’est beaucoup interrogé sur son intérêt, notamment en raison des craintes de différends entre les sociétés et les États… Différends pouvant tourner au désavantage des États, donc de la volonté populaire, d’où la perspective d’un jeu...

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