Betteraves

Cette année encore, l’Irbab a passé au crible de nombreuses variétés de betterave sucrières. Rendement, richesse, sensibilité aux maladies… ont été évalués, parmi d’autres critères. En voici les résultats, associés aux faits marquants de cette dernière campagne, pour anticiper au mieux les prochains semis.

L’actuelle baisse des températures influence les arrachages, mais incite aussi au bâchage.

Les conditions très humides et asphyxiantes du printemps ont favorisé la pourriture noire de la racine, causée par aphanomyces, dans beaucoup de parcelles de betteraves.

Mardi 24 septembre, marquera le coup d’envoi de la campagne betteravière à l’usine de Tirlemont. Les usines de Longchamps et Wanze lui emboîteront le pas dans quelques jours. Après divers projets de durabilité majeurs, la Raffinerie Tirlemontoise (RT) s’attend à une production fluide et sûre jusqu’à la mi-janvier.

Dans son message du 5 septembre, l’Institut royal belge pour l’amélioration de la betterave (Irbab) recommande de bien analyser la situation des parcelles avant d’envisager un traitement.

Début de semaine, l’Institut royal belge pour l’amélioration de la betterave prévenait les planteurs de la présence de mildiou dans certaines parcelles, contre lequel aucune intervention n’est envisageable.

L’évolution des maladies foliaires cette semaine est dans la lignée des observations réalisées ces dernières semaines, constate l’Irbab dans son message du 22 août.

La cercosporiose continue de se propager avec le temps changeant de ces derniers jours, constate l’Institut royal belge pour l’amélioration de la betterave (Irbab) dans son message du 8 août.

Fin juillet, la cercosporiose était présente sur l’ensemble du territoire belge. Dans la foulée, l’Institut royal belge pour l’amélioration de la betterave (Irbab) annonçait une adaptation de ses conseils et seuils de traitement.

Dans son dernier avis, l’Irbab constate que les maladies foliaires sont là beaucoup plus précocement que l’an dernier.