
La Commission européenne vient de publier un nouveau bilan de l’offre et la demande en protéines végétales qui montre une situation contrastée avec un taux d’autosuffisance élevé pour les produits à faible teneur en protéines (luzerne, herbe…), mais faible (26 %) pour les produits à forte teneur en protéines, comme le soja. C’est la première fois que ce bilan prend en compte les fourrages dits grossiers en plus des habituelles grandes cultures (céréales, oléagineux et légumineuses), et coproduits (issus de la trituration du soja, du colza et du tournesol).
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