Il y a des risques qu’à l’avenir les sécheresses printanières et estivales ne deviennent la norme. Entre 2000 et 2020, une régression linéaire basée sur les données de la station météo IRM d’Ernage montre une diminution des précipitations sur 20 ans de 46 l/m² pour les printemps et de 82 l/m² pour les étés soit 2.3 l/m² et 4.1 l/m² de pluie en moins chaque année, respectivement pour les saisons de printemps et d’été. L’agriculture doit en tenir compte et continuer d’évoluer et de se renouveler.
Depuis quelques années, dans plusieurs régions, les épeautres...
Article réservé aux abonnés
Accédez à l'intégralité du site et recevez Le Sillon Belge toutes les semaines
Déjà abonné au journal ?
Se connecter ou Activez votre accès numérique