Une densité telle qu’elle pénalise aussi les chasseurs
Légalement, les chasseurs sont tenus d’indemniser les agriculteurs victimes de dégâts de sangliers mais aussi, sur décision de justice, les propriétaires de terrains privés. Or, certains territoires, tel le nord du sillon Sambre-et-Meuse, sont peu habitués à la présence de ces animaux. « Les terrains y sont moins bien protégés, ce qui se traduit par de plus importants dégâts. Cela pèse sur la trésorerie… Dans pareilles zones, la présence de sangliers ne semble pas compatible avec le milieu naturel, ni avec l’homme », juge Benoît Petit. De plus, ces zones ne font pas partie de l’...
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