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Grippe aviaire: «Les tergiversations du fédéral ont sapé la solidarité dans le secteur de la volaille»

Qui de l’œuf ou la poule est arrivé le premier ? L’éleveur de volaille et négociant en œufs, Stefaan Verhelle, de Wingene, ne connaît pas la réponse. Pour lui, un œuf est avant tout un produit économique. « Raison pour laquelle nous avons besoin de la poule ! Et si vous en prenez bien soin, vous aurez de bons œufs. » Retour sur une aventure humaine, sur l’esprit d’entreprise et sur la durabilité d’une exploitation que le fipronil et la grippe aviaire ont gravement affecté, comme tout un secteur.

Stefaan Verhelle et son épouse Hermine Steenhuyse sont des aviculteurs dans l’âme. Et pourtant, sans son amour pour Hermine, Stefaan aurait probablement travaillé dans un autre secteur et dans une autre fonction. « Je suis le fils d’un fermier », explique l’aviculteur. « Mes parents avaient une ferme mixte à Pittem avec du bétail, des cochons, des poulets de chair et des cultures légumières. » S’il s’est intéressé davantage aux légumes fins, comme la mâche et le persil, il a préféré se diriger dans le secteur avicole....

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