
Les méthodes de génomique apportent davantage de précision dans la sélection et de diversité génétique tout en faisant gagner beaucoup de temps aux sélectionneurs. Néanmoins, constate un groupe d’étudiants de Bordeaux Sciences Agro (France), ces méthodes ont présenté des limites en termes de volumes des données et de propriétés de ces données. L’utilisation du « big data » pour traiter ces grands volumes serait bénéfique en sélection animale mais aussi végétale.
Pour la filière élevage, les étudiants tablent sur la fin du...
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