
Dans la voix de la terre du 9 septembre, A Jadin faisait remarquer combien le fauchage tardif pouvait être un fantastique gisement de mauvaises herbes pour les champs avoisinants.
Habitant près de la Sambre, j’ai pu observer le long du halage un autre petit problème lié au fauchage tardif : celui-ci camoufle les bornes et bites d’amarrage des bateliers. Il y a 30 ans, on voyait passer quotidiennement 30 péniches. Elles sont désormais remplacées par 300 à 400 camions par jour via le réseau routier. Depuis 10 ans, il n’y a plus de bateaux, juste quelques...
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