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La production de lait a augmenté de près de 20 % grâce à la nouvelle stratégie d'alimentation.

La famille Heinen à Wévercé choisit d'alléger le travail par l'alimentation automatisée. « Nous avons opté pour le Lely Vector en raison de sa grande flexibilité. Cet appareil relativement petit est très performant. »
Temps de lecture : 5 min

Depuis 2018, un Lely Vector alimente 160 vaches laitières, ainsi que 140 génisses sur l’exploitation d’Andreas et de ses parents Ludwig et Agnes. « Lorsque nous avons construit ce bâtiment en 2008, nous voulions déjà un système d’alimentation automatisé », se rappelle Andreas. « À l’époque, mon oncle avait essayé de construire lui-même une installation, mais ce n’était pas si simple. Nous nous sommes donc tournés vers le marché pour voir ce qui y était proposé. Nous avons d’abord envisagé d’autres systèmes, avec trémie de distribution. Mais après avoir vu le Lely Vector, j’étais convaincu que c’était ce qu’il y avait de mieux pour nous. »

Plus de flexibilité

« Nous avons opté pour le Lely Vector parce que ce système offre beaucoup plus d’options qu’un système à trémie de distribution. » La cuisine d’alimentation du Lely Vector comprend un sol plat avec compartiments. « En théorie, on peut placer un type d’aliment différent dans chaque compartiment, ce qui permet d’être beaucoup plus flexible. Quand on travaille avec des trémies de distribution, on a très vite beaucoup plus de types d’aliments que de trémies. » Pour Andreas, le « moment d’alimentation » est un autre avantage de taille du Lely Vector. « Le Lely Vector décide lui-même quand il est temps de distribuer une nouvelle portion par rapport à la quantité de fourrage résiduel présent au cornadis. C’est idéal en combinaison avec le pâturage. »

Près de 20 % de lait en plus

Depuis l’acquisition du Vector, la production de lait a augmenté de près de 20 %, ce qui représente en moyenne 1 800 litres en plus par vache sur l’exploitation familiale. Cela n’est pas seulement dû à ce que l’alimentation est disponible en continu, mais aussi à ce qu’il est plus simple d’alimenter avec plus d’aliments de types différents. « Il est facile d’ajouter des compléments alimentaires aux mélanges. »

Facilité du pâturage

D’avril à octobre, les vaches de la famille Heinen vont au pâturage sur une prairie de 35 hectares en journée. « En été, l’auge est remplie après la traite du matin, le Vector arrête ensuite d’alimenter. Vers 10h00, le couloir d’alimentation est vide et les vaches sortent. En fin d’après-midi, le Vector reprend du service avec une nouvelle portion. En rentrant dans le bâtiment, les vaches vont directement dans la zone d’attente. Lorsqu’elles ressortent du bâtiment de traite, du fourrage frais en quantité suffisante les attend. » Les jours où les vaches absorbent moins d’herbe fraîche au pré, le capteur du Lely Vector remarque rapidement qu’il faut plus de fourrage au cornadis. « Nous n’avons pas besoin d’y faire attention, le Vector s’en charge. C’est l’idéal », estime Andreas.

Des vaches bien soignées

Le Lely Vector a apporté beaucoup de flexibilité à Ludwig et Andreas dans leur travail. « Lorsque la journée s’annonce très chargée, nous veillons à remplir la cuisine d’alimentation à l’avance. Nous trayons les vaches le matin et le soir, mais nous n’avons pas besoin de penser à l’alimentation. » Pendant la traite, l’alimentation ne les occupe pas non plus. « Quand on alimente soi-même, il faut veiller à ce qu’il y ait suffisamment de fourrage au cornadis quand les vaches arrivent du bâtiment de traite. Nous savons que le Vector s’en est chargé. Nous avons moins de contraintes car nous savons que le Vector a bien soigné les vaches. Et nous n’avons pas besoin de fournir du travail supplémentaire, nous assurons les tâches ensemble. »

Plus de tranquillité

Le Lely Vector profite également aux vaches. Ludwig s’explique : « Les vaches sont beaucoup plus tranquilles parce qu’elles savent qu’il y a toujours suffisamment de fourrage. Elles n’ont pas besoin de se dépêcher de se relever et d’arriver au cornadis pour trouver du fourrage frais. Il y a toujours du fourrage frais. » Ludwig et Andreas ont aussi le sentiment que c’est profitable à la santé des animaux.

Remplir la cuisine d’alimentation

Andreas adapte le remplissage de la cuisine d’alimentation à ses autres tâches. « Je remplis la cuisine quand ça m’arrange, disons une fois tous les trois ou quatre jours. Bien sûr, je prends toujours en compte les week-ends et les jours fériés ou le travail aux champs Mais je le fais surtout quand j’ai le temps. »

D’après Andreas, remplir la cuisine d’alimentation dépend surtout de la taille. « Quand on a une grande cuisine d’alimentation, on peut y stocker de manière prolongée des produits secs comme le foin et la luzerne. Il faut être plus attentif avec les produits qui se détériorent plus vite en termes de qualité, comme la drêche de brasserie. « En été, on ne peut pas garder la drêche de brasserie en stock pendant plus de deux jours. En hiver, on peut prolonger jusqu’à quatre jours. »

Des pannes rares

« Nous sommes très satisfaits du Lely Vector. Tout se passe avec une grande souplesse. La machine ne s’arrête que pour la maintenance et lorsque les vaches sont au pâturage. Et s’il devait y avoir quoi que ce soit, nous téléphonons au Lely Center. Généralement, la question se règle au téléphone. Sinon, un technicien passe rapidement. Ainsi, nous sommes assurés que les vaches seront toujours alimentées. » En termes de consommation électrique, ils sont également satisfaits. « Nous ne consommons que 10 000 kWh par an, c’est très positif. Et, depuis que nous générons de l’électricité par notre propre installation de biogaz, c’est encore plus rentable. »

 

* Les résultats n’ont pas été vérifiés par Lely ou
 une partie indépendante. Vos résultats peuvent varier

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