L’«anéantissement» de la vie sauvage s’accélère
La sixième extinction de masse sur Terre est plus rapide que prévu et se traduit par un «anéantissement biologique» de la vie sauvage, alerte une nouvelle étude.

Plus de 30% des espèces de vertébrés sont en déclin, à la fois en termes de population et de répartition géographique, indique cette étude parue dans la revue Proceedings of the National Academy of Sciences (PNAS). «Il s’agit d’un anéantissement biologique qui survient au niveau global, même si les espèces auxquelles appartiennent ces populations existent toujours quelque part sur Terre», affirme l’un des auteurs de l’étude, Rodolfo Dirzo, professeur de biologie à l’Université de Stanford.
Les chercheurs ont dressé la carte de la répartition...
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