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Voir l'offre d'abonnementLes betteraves se développent rapidement mais les pluies intensives ont causé ponctuellement des dégâts.
La Cepm a tenu à Bruxelles le 5 juin, le premier Congrès européen du maïs, symbole de l’attachement des maïsiculteurs au projet européen.
Vu l’engouement croissant des agriculteurs pour les techniques de conservation des sols et le succès de la première édition en 2016, l’asbl Greenotec et les Services publics de Wallonie organisent, avec le soutien de nombreux partenaires, la seconde édition du Festival consacré à cette vaste thématique.
À la suite des mauvaises conditions climatiques survenues en ce printemps, de nombreuses parcelles ont subi des accidents culturaux. En plus des pertes de rendement, le risque pour les terres concernées est d’engendrer des valeurs d’Azote Potentiellement Lessivable (APL) élevées.
Après une dernière semaine de mai marquée par des vols extrêmement abondants de cécidomyie orange, c’est maintenant au tour de Macroglenes penetrans de se faire remarquer.
Ce printemps avec une période sèche jusqu’aux deux premières décades de mai avant l’arrivée de précipitations orageuses guide les choix du maraîcher dans la maîtrise des adventices. Une lutte nécessaire car en grand nombre, celles-ci concurrencent les cultures souhaitées mais aussi nuisent à leur aération et favorisent ainsi le développement de maladies foliaires.
La faculté de Gembloux Agro-Bio Tech a récemment inauguré un nouveau centre de recherche, nommé Terra, dédié à l’agriculture de demain, aux innovations et aux produits qui en résultent. Il s’agit donc d’une unité de recherche et d’enseignement qui étudie et développe l’ingénierie biologique dans les domaines de l’agroalimentaire, de l’agriculture, de la biotechnologie, de l’environnement et de la foresterie.
À Mellet, dans le Hainaut, Thomas et Hélène Geeraerts-Van Zande cultivent des légumes bios en parallèle de l’exploitation familiale conventionnelle. Les jeunes agriculteurs n’hésitent pas à s’appuyer sur les atouts de chacune des exploitations afin d’atteindre leur objectif : faire mieux !
Malgré un retard certain sur la Wallonie, l’agriculture bio est en croissance en Flandre également. Ainsi, le nombre de fermes bio et la surface qui leur est dédiée a augmenté en 2017. Le nombre d’animaux élevés suivant ce mode de production fait quant à lui un impressionnant bond en avant, toutes spéculations confondues.
Année après année, la filière bio wallonne ne cesse de se développer, comme en témoigne 2017. Une fois encore, le nombre d’exploitations et la SAU bio augmentent. Un cap vient d’ailleurs d’être franchi : un ha agricole wallon sur 10 est bio. Du côté de l’élevage, les chiffres sont aussi impressionnants, avec une croissance de près de 25 % du nombre d’animaux en un an à peine, grâce, notamment, aux filières poules pondeuses et caprine. En outre, le secteur porcin, longtemps en difficulté, se relève considérablement.
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