Cette adoption, de même que celle du mandat pour des discussions du même type avec l’Australie, attendra toutefois le débat au sein de l’Union sur la nouvelle architecture des accords commerciaux négociés à l’avenir avec des pays tiers afin d’assurer leur ratification accélérée. Il s’agira d’opérer une séparation entre les chapitres relatifs aux aspects commerciaux, qui relèvent de la compétence exclusive de l’UE et pourraient être ratifiés rapidement par le Parlement européen et le Conseil, et ceux relatifs à l’investissement et à la protection des investissements, qui relèvent d’une compétence partagée entre l’Union et ses États membres et nécessitent l’approbation des parlements nationaux.
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