Les détaillants (centres de distribution alimentaire au détail, supermarchés, restauration ou petits détaillants) « devront seulement être conscients du fait que certains allergènes ou certains dangers biologiques, chimiques ou physiques pourraient être présents et que le non-respect des activités de contrôle essentielles – telles que la séparation entre produits crus et produits cuits – pourrait représenter un risque pour les consommateurs », souligne l’Efsa.
Ce travail s’inscrit dans le cadre de la nouvelle législation européenne relative aux déchets, adoptée en mai 2018, qui appelle les États membres à prendre des mesures pour réduire le gaspillage alimentaire. En 2017, la Commission européenne avait adopté des lignes directrices pour faciliter le don de denrées alimentaires. Elle avait également publié au mois d’avril des lignes directrices visant à faciliter l’utilisation des denrées alimentaires qui ne sont plus destinées à la consommation humaine en tant qu’aliments pour animaux.