Accueil Ovins, caprins

Un auto-vaccin pour venir à bout de la pasteurellose

En 1999, Peter De Cock installe sa bergerie à Acremont avec une vingtaine de brebis de la race « mouton laitier belge ». En 2007, son épouse Barbara le rejoint à la ferme.

Aujourd’hui, le troupeau compte 208 brebis, 86 agnelles, 25 agneaux, 1 bélier et 2 récemment acquis en quarantaine. Pendant la bonne saison, l’herbe, la luzerne et le trèfle sont fauchés et directement distribués. Pour le reste, les animaux reçoivent du foin récolté à la ferme et un complément composé de tourteaux de lin, orge, triticale, épeautre.

Aliments et environnement de qualité donnent lait et viande de haute valeur. Au magasin de la Bergerie, Barbara et Peter proposent des fromages au lait...

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2024, une année noire pour l’élevage ovin: «Jusqu’à 75.000€ de perte!»

Ovins, caprins Antoine Mabille fait partie des voix agricoles qui se sont élevées il y a moins d’un an de cela. Quelques mois plus tard, comme tant d’autres, il n’a toujours pas l’impression d’avoir été écouté. D’autant plus qu’aux inquiétudes déjà bien présentes dans le secteur se sont ajoutées les pertes liées à la fièvre catarrhale ovine. À la Bergerie des Arches, au total, 38 bêtes ont succombé à la maladie de la langue bleue, sans compter ses multiples conséquences, comme la morbidité des animaux, l’infertilité, ou encore les avortements. Et alors qu’une nouvelle année approche, une chose est certaine : si l’on sort la calculette, le bilan de 2024 s’annonce déjà terriblement lourd pour l’élevage ovin.
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