Economie

L’indice des prix à la consommation du mois d’avril s’établit à 105,09 points, soit une augmentation de 0,18 point.

La cotation Belgapom de ce vendredi 5 mai pour les pommes de terre de variété Bintje s’établit à 25,00 €/100kg (TVA excl.) ou 26,50 €/100kg (TVA incl.). ​Belgapom évoque un marché ferme sur lequel l’offre est inférieure à la demande.

L’indice des prix des matières premières alimentaires établi par la FAO a de nouveau baissé en avril, sous le coup d’une baisse des cours du sucre et des huiles végétales, a annoncé jeudi l’organisation des Nations unies pour l’agriculture et l’alimentation (FAO).

Des chercheurs de l’Université de Gand ont conçu une méthode spectrométrique, par infrarouge, permettant d’évaluer la qualité du café, annonce l’UGent.

Le commissaire européen à la Santé et à la Sécurité alimentaire, Vytenis Andriukaitis, était en visite ce 2 mai à Bruxelles afin d’y rencontrer nos différentes autorités nationales dont les ministres Maggie De Block (Santé) et Willy Borsus (Sécurité alimentaire et santé animale).

Après avoir maintenu une relative stabilité pendant deux mois, entre une offre mondiale abondante et une demande dynamique, les cours des céréales, et dans une moindre mesure des tourteaux, ont reculé en mars sous le poids de réévaluation à la hausse des récoltes.

Juste avant son assemblée générale, l’Apfaca, l’Association professionnelle des fabricants d’aliments composés pour animaux, a dévoilé les chiffres liés à la production d’aliments composés en Belgique. Et il ressort qu’en 2016, le secteur belge des aliments composés a produit 7,2 millions de tonnes d’aliments pour animaux, ce qui représente une stagnation par rapport à 2015.

La cotation Belgapom de ce vendredi 28 avril pour les pommes de terre de variété Bintje s’établit à 20,00 €/100kg (TVA excl.) ou 21,20 €/100kg (TVA incl.). ​Belgapom évoque un marché ferme sur lequel l’offre est inférieure à la demande.

La découverte d’une larve capable de dévorer le polyéthylène, l’une des matières plastiques les plus résistantes, utilisées dans de nombreux emballages, offre la perspective de bio-dégrader rapidement ce polluant qui s’accumule dans l’environnement, notamment les océans.