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Vacciner ou l’art de prévenir tôt plutôt que guérir tard

Vacciner n’est pas aussi anodin qu’il n’y paraît. Cet acte doit, en effet, être réfléchi en tenant compte de divers paramètres, tels que les pathogènes ciblés, l’âge du cheptel, l’état de santé des animaux… Il doit également s’envisager lorsque le troupeau semble sain mais pourrait être menacé par un pathogène émergent ou réémergent, ou en cas de risques liés à l’achat d’un animal.

La vaccination fait souvent parler d’elle, à tort ou à raison. Nombreux sont les éleveurs d’ovins et de caprins se questionnant sur le bien-fondé de l’application d’une telle mesure prophylactique dans leur troupeau compte tenu du coût qu’elle représente, du travail à déployer et de sa réelle plus-value sanitaire. Des questions qui méritent d’être posées car vacciner n’est pas la solution miracle à tout trouble rencontré.

Une discussion franche sur le rapport coûts-bénéfices doit être menée avec son...

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