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Valentine Courtain: «Les femmes sont un peu le moteur d’une exploitation familiale»

À Loupoigne sous le ciel calme tellement clair que les nuages viendraient à son secours, l’automne y rayonne plus fortement dans l’invisible qu’un soleil à son apogée. Lovée au cœur du village, la Ferme de la Goyette, sur les pavés dans la cour, la vie s’y précipite et se maintient, immense. Valentine Courtain nous en a ouvert le chemin, du temps passé et futur.

Cette jeune femme dynamique et volontaire est le fer de lance de la quatrième génération sur la ferme où ses grands-parents, qui faisaient déjà du beurre, étaient passés d’une exploitation mixte à une spéculation laitière avec des Hosltein et des Jersiaises, une race qui constituera une sorte de fil rouge dans l’histoire de l’exploitation brabançonne.

C’était avant que ses parents n’accroissent encore le cheptel laitier composé de Holstein, Montbéliardes, de Brunes Suisses, bien évidemment de...

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