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Voir l'offre d'abonnementLabour, semis, transport des récoltes ou des animaux, préparation de la ration… Le tracteur fait partie du quotidien des agriculteurs depuis plusieurs décennies déjà. Si cet indéniable allié rend bien des services, il constitue également une source de danger. À ce titre, les retournements d’engin, bien que peu fréquents, peuvent causer de graves blessures, voire entraîner la mort du chauffeur. De tels accidents sont néanmoins évitables.
Ce n’est pas le film de Claude Autant-Lara tiré du roman éponyme de Simenon, mais une réalité agricole, celle du terrain, quand le corps lâche inopinément ou que la maladie frappe. Les choses de la vie, celles qui remettent en cause le quotidien, bousculent l’habitude et secouent les certitudes. Agriculteur à Ecaussinnes, Philippe Bottemanne les a expérimentées dans sa chair. Et a pu les surmonter grâce au Service de remplacement agricole.
Les rôles de la BEHVA sont multiples : coordination du mouvement de la collection, lobbying auprès du monde politique ou encore sauvegarde du patrimoine roulant historique. Elle est également en mesure d’aider l’acquéreur d’un véhicule à régulariser la situation documentaire de ce dernier lorsque des papiers sont manquants dans le cadre d’une demande d’immatriculation.
En raison de la pandémie de Covid-19, les immatriculations de tracteurs agricoles avaient enregistré une nette baisse de 20 % au second trimestre 2020 (période traditionnelle de pointe de l’année) par rapport à la même période un an plus tôt, indique l’Association européenne de l’industrie du machinisme agricole (Cema).
Selon l’enquête Agrinautes, pas loin de la moitié des agriculteurs français utilisent la messagerie mobile WhatsApp, et sa popularité devrait même dépasser Facebook cette année. L’application mobile au logo vert serait en train de revitaliser l’agriculture de groupe.
De plus en plus présente dans les exploitations agricoles, tant bio que conventionnelles, la bineuse est un véritable concentré de technologies. Caméras, palpeurs ou encore capteurs ultrasons lui permettent d’effectuer un travail de désherbage minutieux et précis. À condition toutefois de choisir consciencieusement la machine qui répond le mieux aux besoins de la ferme et ce, d’autant qu’il s’agit d’un investissement relativement lourd.
Créée fin 2019 avec le soutien de Digital Wallonia, l’Asbl WalDigiFarm ambitionne de valoriser et de favoriser l’usage du numérique en production végétale, un secteur qui accuse du retard sur celui de l’élevage, notamment en matière de partage de données. Véritable laboratoire d’idées, cette nouvelle plateforme entend lever les freins techniques, économiques et légaux à l’utilisation des nouvelles technologies en agriculture.
Les 25 et 26 septembre, les Werktuigendagen, également appelés Journées de la mécanisation agricole, reprendront leur quartier à Oudenaarde. Si l’entrée sur le site est conditionnée à la possession d’un Covid Safe Ticket, le programme qui fait le succès de l’événement est, lui, conservé. De nombreuses démonstrations sont ainsi programmées et plusieurs nouveautés sont à épingler.
Si le semis direct nécessite de disposer du matériel adéquat (semoir à dents ou à disques, selon les cas), il requiert également d’adopter de nouvelles techniques agronomiques. Toutefois, la Belgique se prête bien à cette pratique, avec de bonnes terres et des cultures à hautes valeurs ajoutées. Voyons cela en détail !
Après une première tentative dans les années 30, c’est au sortir de la Seconde Guerre mondiale que Steyr se lance véritablement dans la production de tracteurs agricoles. Le constructeur fait rapidement de la robustesse et de la fiabilité de ses modèles sa carte de visite. En témoignent les exemplaires détenus par Jacques Latour, un collectionneur passionné par les marques germaniques, parmi d’autres.
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