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Les bonnes pratiques pour éviter l’oïdium en culture de cucurbitacées

Les plantes de la famille des cucurbitacées peuvent être atteintes par l’oïdium. Les premiers signes sont l’apparition de petites zones pâlissantes sur le feuillage. Après quelques jours, celles-ci s’étendent et finissent par recouvrir de blanc toute la surface, avec un aspect poussiéreux. La maladie affecte aussi bien la face supérieure qu’inférieure des feuilles. La photosynthèse est alors fortement ralentie, ce qui impacte considérablement la production.

La source de contamination est présente le plus souvent dans ou à proximité immédiate de la parcelle, sur des plantes contaminées d’espèces voisines ou même d’autres genres comme des astéracées.

Cet oïdium est une forme imparfaite d’erysiphacées. Ses filaments mycéliens se développent en réseau en surface de la feuille. Ils envoient des haustoria, suçoirs qui pénètrent dans les tissus végétaux. Ces haustoria fixent les filaments et assurent leur alimentation au détriment du végétal....

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