Adapter la fertilisation aux spécificités de la culture maraîchère
Les fermiers en diversification vers le maraîchage sont amenés à gérer la fertilisation de leurs parcelles en tenant compte de la mixité des productions. Ce seront les besoins des espèces cultivées qui feront la différence avec les grandes cultures. Par ailleurs, les objectifs et les moyens mis en œuvre diffèrent aussi de ceux destinés aux jardins potagers dont il fut question dans le précédent Sillon Belge.

De manière générale, les cultures maraîchères se distinguent des grandes cultures traditionnelles de notre région par la durée et la saison de l’occupation du sol, la profondeur de l’enracinement sans oublier le poids de matière sèche exportée par unité de surface.
De plus, les cultures sous abri, comme les serres, présentent des situations particulières qui impliquent une autre approche de la fertilisation.
Pour les petites fermes, l’exiguïté des surfaces de...
Article réservé aux abonnés
Accédez à l'intégralité du site et recevez Le Sillon Belge toutes les semaines
Déjà abonné au journal ?
Se connecter ou Activez votre accès numérique