L’animal est le meilleur conseiller en gestion de pâturage!

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Voir l'offre d'abonnementLe grand marché-concours d’animaux tracés de la province de Namur a eu lieu au Ciney Expo le samedi 20 janvier dernier. Seulement 124 animaux ont été présentés sur les 218 inscrits au catalogue. Cinq championnats ont été décernés par les juges du jour : Philippe Collignon, Eric Coheur, Pieter Gillis, François Guillaume, Louis-Joseph Lamontagne et Marc Paquay.
L’Apaq-w, la Fédération nationale des bouchers charcutiers et traiteurs de Belgique et la Fédération HoReCa Wallonie prennent une part active dans cette campagne de sensibilisation des consommateurs.
Le 64e marché-concours provincial luxembourgeois s’est tenu le samedi 13 janvier au Walexpo regroupant ainsi 131 animaux. Les juges du jour étaient MM. Arnould, Demarcin, Monfort et Rabeux. M. Flemal officia en tant que suppléant, M. Boclinville comme président du jury.
Portée par Apaq-w, en partenariat avec les bouchers et l’Horeca, la « Quinzaine du bœuf » permet de sensibiliser les consommateurs à la richesse et à la qualité de notre viande bovine. Elle se tiendra, du 5 au 20 mai.
À l’heure où les exploitations wallonnes s’interrogent sur leur avenir, l’autonomie semble de plus en plus s’imposer comme une solution – parmi d’autres ! – à leurs problèmes de durabilité et de rentabilité. En effet, travailler en « circuit fermé » permettrait, d’une part, de réduire l’impact environnemental des élevages mais aussi, d’autre part, d’augmenter tant la marge brute dégagée par unité de main-d’œuvre que l’efficience économique de l’exploitation.
Perdre une vingtaine de taurillons en l’espace d’un mois sans percevoir de signes avant-coureurs, c’est la mésaventure qu’a connu Eric Royer, naisseur-engraisseur à Fexhe-Slins. La cause ? Histophilus somni, un germe connu depuis des années mais dont l’incidence sur le cheptel peut s’avérer dévastatrice surtout depuis quelques années. Un épisode d’autant plus désastreux qu’il n’a pas été aisé de diagnostiquer le microbe. L’éleveur revient sur cette épizootie.
Bien plus importants en élevage laitier qu’en viandeux, les problèmes de boiteries ne sont pas à prendre à la légère. Si les causes sont multi-factorielles, les problèmes de pieds peuvent peser lourdement sur le bien-être de l’animal, la santé du troupeau et celle du porte-feuilles, tant la santé et la production des animaux touchés peuvent être mises à mal. Arnaud Sartelet, de la faculté vétérinaire de l’ULg, revient sur son expérience.
Les mammites sont un fléau économique dans nos étables. Qu’elles soient cliniques, subcliniques ou chroniques, les impacts sur le portefeuille sont nombreux. Traitement coûteux, perte de production, réforme précoce… Et lorsque cette maladie prend place dans un élevage, il n’est pas toujours aisé de s’en débarrasser. Depuis quelques années, une solution, pas encore très répandue chez nous, est apparue pour limiter l’apparition de mammites : la vaccination.
Le Sillon Belge est allé à la découverte du plan Altibiotique en compagnie de François Claine, responsable du projet à l’Arsia. L’objectif : utiliser moins d’antibiotiques dans les élevages, en améliorant les pratiques en place et l’ambiance au sein des étables. Pierre Herman, éleveur à Anthisnes, a fait appel à cette offre pour régler un problème de veaux trop souvent malades. Un reportage dans son élevage, et d’autres sujets, sont à découvrir dans le dossier spécial « Santé animale » de votre journal de ce vendredi !
L’utilisation d’une nouvelle technique de détection permet de « libérer » les élevages suspects beaucoup plus rapidement que précédemment grâce à l’utilisation de tests PCR.
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