La sélection génétique au service de la lutte contre la paratuberculose

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Voir l'offre d'abonnementLa flambée du coût des matières premières (énergies, fertilisant, céréales…) affecte déjà les coûts de production en élevage. Pour en limiter les effets en allaitant, les conduites alimentaires des bovins en phase d’élevage et de finition peuvent être raisonnées selon son système de production.
C’est à Chappelle-à-Oie que sont installés Aurore et Gauthier Bossut-Decuypere. Très vite, le couple a développé la vente directe en attachant une grande importance au bien-être des animaux de leurs sols, mais aussi de leur famille. Et pour y parvenir, ils se sont entourés, remis en question pour toujours s’améliorer dans leurs pratiques et trouver leur équilibre. Rencontre !
Hausse du coût de l’aliment, augmentation du coût de production du maïs grain lié notamment à la hausse du prix des énergies et donc du coût de séchage… le contexte actuel invite les éleveurs à s’intéresser de près au maïs grain humide (MGH). D’autant que ce produit est très bien valorisé par les animaux. Très utilisé dans les exploitations porcines, où il constitue souvent plus de 50 % de la ration des porcs charcutiers, il a aussi de nombreux atouts pour l’alimentation des bovins.
Pour permettre d’estimer avec plus de précision les stocks d’herbe disponibles et ainsi mieux prévoir le pâturage du cheptel, un outil fait parler de lui dans plusieurs pays : l’herbomètre à plateau. Cependant, les équations de calibration couplées à cet outil sont réalisées dans des situations pédoclimatiques parfois bien distantes de la Wallonie. Développer une équation adaptée à nos conditions était donc nécessaire. C’est désormais chose faite !
Du 27 au 29 avril s’est tenu à Namur le Dair’Innov Congress : un congrès international accueillant une centaine de scientifiques de haut vol venus des quatre coins du monde.
C’est une histoire bien belge, une première dans notre assiette qui devrait susciter l’engouement ! « Pré de chez nous » – un label destiné à une viande bovine, locale, qui allie qualité, bien-être animal et durabilité – est une collaboration entre trois acteurs clés : Bernard Gotta, maître chevilleur, Sobemax, sélectionneur d’animaux, et Dumoulin, producteur d’aliments. Si la réflexion du projet a pris quelques années, une fois lancé, le label semble déjà faire l’unanimité auprès des bouchers.
Le Comité du Lait a publié, voici quelques jours, le rapport de ses activités conduites en 2021. Parmi les nombreuses informations qu’il recèle, on y lit que les éleveurs laitiers ont fait un travail remarquable, comme de coutume. En effet, bien que certains indicateurs accusent un léger recul, le lait wallon demeure d’une excellente qualité, à l’image de ce qui a pu être observé les années précédentes.
Les entreprises familiales laitières belge Olympia et néerlandaise Royal A-ware ont annoncé, ce 19 avril, avoir conclu un accord permettant la reprise de la première par la seconde.
Dans le cadre d’un webinaire sur la thématique des antibiotiques organisé par l’Amcra et l’Afsca, Léonard Théron portait sa casquette de vétérinaire pour le compte de l’Union professionnelle vétérinaire. Son objectif du jour : présenter la complexité du tarissement sélectif. « Comme toute stratégie en ferme, cela se réfléchit, se prépare… avant de se lancer avec des filets de sécurité. »
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