Potato Europe s’installe chez nos voisins français

Recevez Le Sillon Belge chaque semaine chez vous et bénéficiez d'un accès à tout le site : Articles, météo et cotations des marchés agricoles
Voir l'offre d'abonnementQuelle année, et quelle météo ! Pour les fermes maraîchères diversifiées, la surface couverte permet une production et une occupation de la main-d’œuvre disponible, ainsi qu’un certain approvisionnement des points de vente. Mais pour le plein air, les maraîchers ne sont pas mieux lotis que leurs confrères agriculteurs. La plus grande crainte sera de parvenir à tenir le coup financièrement jusqu’à l’année prochaine.
Le 5 juillet, Biowallonie organise la première édition du salon interprofessionnel technique Biowall’Innov. Celui-ci portera essentiellement sur la polyculture-élevage à travers, notamment, près de 20 ateliers.
Fort de l’expérience acquise dans son vignoble expérimental, le Carah propose un système d’avertissements et de suivi de la vigne aux vignerons wallons qui le souhaitent.
Le prix des pommes de terre de conservation a atteint 600 euros la tonne sur le marché libre, égalant le record de l’an dernier, a confirmé Christophe Vermeulen, de la fédération du secteur Belgapom. Le paquet de frites risque d’être plus cher.
La superficie utilisée pour la production agricole biologique dans l’Union européenne a atteint en 2022 16,9 millions d’hectares, poursuivant sa tendance à la hausse, indique mercredi Eurostat.
Les analyses réalisées par l’Irbab et différents laboratoires montrent que la minéralisation de l’azote et la quantité d’azote présente dans les profils sont normales.
Pour les cultures de « qualité », une analyse pré-récolte est fortement recommandée. C’est le cas pour la culture d’orge brassicole par exemple. Cette analyse permet de mieux classer les lots et de mettre de côté ceux qui présentent des anomalies (humidité, protéines, germination selon l’indice de Hagberg, etc.).
Le projet Prior’eau du Centre wallon de recherches agronomiques (Cra-w) permet de fournir un appui à Protect’eau dans son accompagnement quant à la bonne gestion des produits phytopharmaceutiques. Grâce à des bases de données de détection des produits de protection des plantes (PPP) au niveau des ressources en eau et des outils d’analyse, des zones prioritaires à démarcher sont définies.
Les producteurs de pommes de terre en Belgique sont contraints de planter plus tardivement cette année à cause des conditions météorologiques: des températures basses après de fortes pluies. «Ce qui présentera des risques à l’arrière-saison quand il faudra récolter», commente vendredi Pierre Lebrun, ingénieur agronome au sein de la Fiwap, filière wallonne de la pomme de terre.
Alors que les prévisions de semis et de plantations sont complètement chamboulées, il arrivera bien un moment où nous pourrons enfin installer les cultures d’été et d’automne. Cependant, avec la préparation des sols et la gestion des adventices, les maraîchers doivent faire face à de nombreux défis, notamment l’invasion des galinsoges.
Abonnez-vous à Le Sillon Belge
Voir l’offre d’abonnement