Quelle conduite des surfaces fourragères après la sécheresse? (Partie 1)

Recevez Le Sillon Belge chaque semaine chez vous et bénéficiez d'un accès à tout le site : Articles, météo et cotations des marchés agricoles
Voir l'offre d'abonnementBernard Gotta (entreprises Bernard Gotta et Viande de Liège) et Marcel Peters (Entreprises Pegri et P&M), repreneurs de l’abattoir de Bastogne, ont présenté le 31 août leur ambitieux plan industriel de redéploiement du site industriel local de 7 hectares. Le début des travaux est prévu pour 2024. Le projet comprend notamment le doublement de la surface des étables et la modernisation de la chaîne d’abattage.
Durant la visite de la délégation belge, Julien Mante, directeur technique France Limousin Sélection, a esquissé l’organisation des outils d’aide à l’amélioration génétique de ladite race bovine.
Le Herd-book Limousin Belge a permis à une quarantaine d’éleveurs de se rendre dans le berceau de la race pour non seulement visiter le pôle de Lanaud, la station de Mossours ainsi qu’un élevage reconnu des quatre grands départements du Limousin (Haute-Vienne, Charente, Dordogne et Creuse). Retour sur la première partie d’un programme plutôt dense.
Le Space vit ses 35 ans dans un contexte marqué par des changements très rapides et radicaux sur les plans géopolitiques, sanitaires, climatiques, et par conséquent économiques. Ces trois jours sont une opportunité de se rassembler, s’informer, partager, échanger… des évolutions et des enjeux du monde de l’élevage, pour le bénéfice de tous ses acteurs.
Bernard Gotta (Viande Liège) et Marcel Peters (PEMA Group) investissent 16 millions d’euros dans la reprise de l’abattoir de Bastogne, ont-ils annoncé mercredi matin lors d’une présentation du projet en présence des autorités bastognardes et wallonnes. Le début des travaux est prévu pour 2024. Le projet comprend notamment le doublement de la surface des étables et la modernisation de la chaîne d’abattage.
Visite chez François et Manon Lallemant-Drouguet du côté de Blanchefontaine qui élèvent près de 750 chèvres alpines. Lactations longues pour les unes, lactations courtes et insémination artificielle pour les autres, le schéma de reproduction permet au couple de travailler en circuit fermé tout en augmentant la production et le cheptel tant en qualité qu’en quantité. Rencontre.
La filière équine en Wallonie, c’est quelque 135.000 équidés, environ 6.750 équivalents temps plein et un impact économique estimé à 1,15 milliard d’euros, selon une étude réalisée par le Centre européen du cheval de Mont-le-Soie et présentée le 23 août à l’occasion d’une visite du ministre wallon de l’Économie, Willy Borsus.
Depuis le 1er juin 2021, le responsable de chaque exploitation porcine (quel que soit le nombre de porcs) est tenu de faire réaliser chaque année, par son vétérinaire d’exploitation, une évaluation des risques et d’établir un plan d’action, de manière à évaluer et améliorer la biosécurité au sein de son exploitation. Seuls les porcs de compagnie sont exemptés. L’évaluation de risque est réalisée via l’application Farmfit de la DGZ et de l’Arsia.
Pour la première fois en Belgique, des éleveurs laitiers ont accès à un marché à terme leur permettant de se prémunir des fluctuations de prix tout en sécurisant leur marge. Tels sont, en l’effet, les objectifs du programme Securimilk lancé en juillet dernier par la Laiterie des Ardennes.
Deux vaches sont mortes de déshydratation, lundi à Waterloo, vraisemblablement à cause d’un acte de malveillance, a-t-on appris mardi auprès de la police locale.
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