Céréales

Par rapport à l’année dernière, la redevance enregistre une croissance de 0,23 %.

La superficie de céréales de printemps, dont l’orge et le blé, a diminué de 42,6% sur le territoire belge en 2023, ressort-il d’un rapport publié jeudi par l’office fédéral de statistiques Statbel. De mauvaises conditions météorologiques ont effet perturbé les semis au printemps 2023. Une chute de 55% a été observée en Flandre, contre une baisse de 36,2% en Wallonie.

Le blé dur est une céréale qui se récolte dès qu’elle est mûre. Il ne faut donc pas attendre pour la récolter surtout si une période de pluie importante est annoncée.

Le Carah organisait, le 20 juin, la visite de ses champs d’essais mis en place à Ath. Outre la thématique du renouvellement variétal, il a surtout été question de la protection fongicide des escourgeons et froments. L’occasion d’épingler les nombreuses particularités de la saison en cours mais aussi de tirer quelques enseignements pour celle à venir.

Vu les dates de semis étalées du froment, les dates de récoltes risquent tout autant de l’être cette année. Pour les céréales de qualité, une analyse de prérécolte permettant de contrôler l’humidité, évaluer la teneur en protéines et d’anticiper l’allotement des récoltes est recommandée.

Le transport et le stockage des céréales requièrent le plus grand soin afin d’éviter tout risque de déclassement, voire de destruction, des céréales. Fegra livre donc ses conseils, pour une moisson sans mauvaise surprise.

Nous présentons ci-après les normes de réception des céréales, oléagineux et protéagineux, livrés par les producteurs au négoce-collecteur, telles qu’elles ont été établies par le syndicat national du commerce des céréales et autres produits agricoles, Synagra.

Pour les cultures de « qualité », une analyse pré-récolte est fortement recommandée. C’est le cas pour la culture d’orge brassicole par exemple. Cette analyse permet de mieux classer les lots et de mettre de côté ceux qui présentent des anomalies (humidité, protéines, germination selon l’indice de Hagberg, etc.).

Si la tendance se dessinait depuis plusieurs mois déjà, les chiffres viennent le confirmer : pour la première fois depuis 2003, le nombre de fermes bio et la superficie qui leur est associée ont légèrement baissé en Wallonie. Cela témoigne de l’impact des crises successives qui ont pesé tant sur les producteurs que sur les consommateurs, ces derniers ayant moins acheté de produits bio en 2022 et 2023.

Les populations observées dans le réseau Cepicop sont faibles et ne nécessitent pas de traitement.